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25 novembre 2014

Tara révèle une pollution plastique inquiétante en Méditerranée

POLLUTION - Le voilier Tara revient d’une expédition de sept mois en mer Méditerranée, à la recherche de la pollution plastique. Les premiers résultats sont accablants…

 

De notre envoyée spéciale à Lorient

Il n’y a plus une seule goutte d’eau de Méditerranée qui ne soit pas polluée par les plastiques. Les premières observations de l’expédition Tara Méditerranée, revenue à son port d’attache de Lorient ce samedi, font peur. Sur les 350 «traits de filet» réalisés par les scientifiques, pas un seul n’est revenu vierge de micro-déchets plastique. «C’est très alarmant, commente Maria Luiza Pedrotti, coordinatrice scientifique de l’expédition. Nous avons trouvé en Méditerranée des concentrations de plastique du même ordre de grandeur que dans le "big garbage patch" du Pacifique Nord: au large de Nice, on atteint 500.000 particules de plastique par kilomètre carré.»

Poisson sauce bisphénol

La pollution plastique vient pour 90% des terres, principalement des grandes agglomérations: Marseille, Naples, Beyrouth figurent parmi les plus gros apporteurs de déchets. Mais les courants favorisent la dispersion de ces plastiques qui se fragmentent en micro-particules et infiltrent tout l’écosystème méditerranéen: «Les baleines et les poissons peuvent les ingurgiter, explique Maria Luiza Pedrotti. Les adjuvants au plastique, du type phtalates ou bisphénol, sont aussi lâchés dans l’environnement: on en a retrouvé des traces dans des biopsies de baleines. Nous allons maintenant chercher à voir s’ils se transfèrent in fine vers nos assiettes.»

Parabènes, bisphénol ou phtalates: Les perturbateurs endocriniens, des substances banales aux effets néfastes

Les micro-particules de plastique sont également un danger pour la santé, car elles servent de radeau à tout type d’organismes, micro-faune, algues, mais aussi virus: «La bactérie Vibrio cholerae, responsable du choléra chez l’homme, peut être disséminée par le plastique auquel elle se colle», alerte Maria Luiza Pedrotti.

Halte aux sacs plastiques

Les analyses qui seront menées sur les 2.300 échantillons collectés par Tara permettront de mieux connaître la composition de ces micro-plastiques, les organismes qui les colonisent et leur impact sur l’environnement. Les quatorze laboratoires impliqués commenceront leurs travaux en décembre et devraient révéler leurs premiers résultats au printemps prochain. D’ici là, les scientifiques qui ont participé à l’expédition espèrent déjà une prise de conscience de la part des politiques, des industriels et des citoyens: «La pollution au plastique peut devenir dramatique en termes sanitaires», estime Stéphane Bruzaud, professeur à l’Université de Bretagne Sud qui mène des recherches sur les bioplastiques. «Il existe aujourd’hui des plastiques oxodégradables, explique-t-il, mais qui ne font qu’accélérer la dégradation sans aller à son terme.»

La seule solution pour que la Méditerranée ne s’étouffe pas dans les sacs plastiques serait d’en limiter l’usage dans les pays côtiers. «L’Europe s’est engagée à réduire de plus de trois quarts l’usage des sacs plastiques à usage unique d’ici à 2025, se félicite André Abreu, responsable environnement et climat de Tara Expéditions. La France doit montrer l’exemple pour que naisse une volonté méditerranéenne de contrôler la consommation de sacs plastiques.» Seule la Corse a aujourd’hui interdit les sacs plastiques à usage unique. Présente à l’arrivée de l’expédition Tara, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal n’a pas manqué de rappeler sa volonté d’étendre la mesure à toute la France: «On peut fabriquer des sacs biodégradables ici dans les entreprises françaises et créer des emplois en réduisant la pollution», a déclaré la ministre.

L’Assemblée nationale interdit sacs plastiques et vaisselle jetable

Mais il faudra aussi se pencher sur les fibres textiles qui sortent de nos machines à laver, les emballages qui ne sont pas recyclés et la pollution des eaux fluviales qui terminent à la mer. D’après une étude d’Eco Emballages, sur le million de tonnes d’emballages plastiques mis sur le marché chaque année en France, seulement un sur cinq est recyclé et seuls 15% des centres de tri sont équipés pour trier les flux de plastiques. Un appel à projets a été lancé par l’éco-organisme pour moderniser les centres de tri et actualiser les consignes auprès des particuliers.

* Audrey Chauvet
Source :
http://www.20minutes.fr/planete/1486831-20141124-tara-revele-pollution-plastique-inquietante-mediterranee
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24 novembre 2014

Extraordinaire : un arbre aux quarante variétés de fruits

Pour préserver la diversité des variétés fruitières, un artiste américain a eu l’idée de greffer diverses variétés en voie d’extinction sur un seul arbre. Le résultat est étonnant : quarante fruits différents poussent sur cet arbre. L’artiste prévoit de multiplier ces opérations dans plusieurs villes.


L’artiste San Van Aken a créé un arbre capable de produire quarante variétés de fruits à noyaux par an. Ce professeur d’art, à l’Université de Syracuse (US), a acheté un ancien verger auprès de la New York State Agricultural Experiment Station. Vieux de 150 à 200 ans, il comporte de nombreuses variétés fruitières en voie d’extinction.

Pour préserver ces différentes variétés il eu l’idée de greffer une grande partie de ces variétés sur un arbre unique. Celles-ci furent choisies parmi un échantillon de 250 variétés de fruits à noyaux. Après avoir étudié les moments de floraison de chaque espèces, en relation avec chacune d’entre elles, il a commencé à en greffer une partie sur un porte greffe.

Après deux années de croissance de ce nouvel arbre, il a utilisé la technique de l’écussonnage, pour ajouter d’autres variétés sur des branches séparées. Après cinq années, il en résulte un arbre aux quarante variétés.

Son caractère unique se révèle au printemps, par les différentes couleurs de floraison et en été par l’apparition des fruits (à noyaux uniquement) : pêches, nectarines, abricots, cerises, amandes. Il a ainsi su joindre l’utile (préserver des variétés anciennes) et le beau.

La diversité des variétés a en effet tendance à disparaitre pour privilégier les plus faciles à commercialiser (en fonction de la durée de conservation, de l’aspect des fruits, leur taille et leur goût).

L’artiste prévoit de multiplier ces opérations dans plusieurs villes.


Source : Ville comestible

http://www.informaction.info/cqfs-un-arbre-aux-quarante-varietes-de-fruits

24 novembre 2014

Urbanisme. Grenoble va démonter ses panneaux publicitaires

Grenoble, première ville en France à supprimer les panneaux publicitaires en ville. |Photo Ouest-France / Jean-Michel Niester

C'est une première en France. La municipalité écologiste de Grenoble a décidé de supprimer les panneaux publicitaires dans la ville.

La municipalité écologiste de Grenoble a décidé de ne pas renouveler son contrat avec la groupe d'affichage et de mobilier urbain JCDecaux, qui procédera à partir de janvier prochain au démontage de 326 panneaux publicitaires dans les rues de la ville.

Des espaces d'expression publique à la place des affiches publicitaires

« La municipalité fait le choix de libérer l'espace public grenoblois de la publicité en développant les espaces d'expression publique et ne lance pas de nouvel appel d'offre pour de l'affichage publicitaire », indique la mairie dans un dossier de presse publié dimanche.

Le démontage durera quatre mois. Au total 326 panneaux publicitaires vont ainsi disparaître de l'espace public grenoblois, dont 227 « sucettes », 20 colonnes, et 64 grands panneaux de 8 mètres carrés, soit 2.051 mètres carré d'espaces publicitaire. Les espaces sur les abribus ne sont en revanche pas concernés dans l'immédiat.

À la place des panneaux démontés, la métropole rhône-alpine promet de planter « une cinquantaine de jeunes arbres avant le printemps ».

Et à partir de janvier, la municipalité devrait également rencontrer les acteurs locaux (associations, acteurs culturels) pour « convenir avec eux des meilleurs lieux d'implantation du futur dispositif » laissant plus d'espace pour l'affichage libre, culturel et municipal.

Recettes en baisse

Cette annonce, qui était une promesse de campagne de l'élu EELV Eric Piolle aux dernières municipales, est « une première européenne pour une grande ville », selon la mairie.

Le manque à gagner pour les caisses municipales sera quant à lui « très largement compensé par les économies déjà réalisées sur le budget protocole ».

« Rien qu'entre 2013 et 2014, la Ville a en effet réduit son budget réalisé de plus de 190 000 EUR », assure le dossier de presse.

Et face à l'effondrement des recettes de la publicité traditionnelle, avec notamment la concurrence d'internet, la redevance perçue par la ville, qui était de « 600 000 € par an dans le cadre du contrat 2004-2014 », « se serait seulement située dans une fourchette allant de 100 000 à 150 000 € par an (avec écrans digitaux » en cas de nouveau contrat, estime-t-elle par ailleurs.

Source :

http://www.ouest-france.fr/pour-une-expo-inedite-grenoble-veut-bannir-la-publicite-dans-ses-rues-2997830?utm_source=of_alerte-generale&utm_medium=email&utm_campaign=of_alerte-generale&utm_content=20141123&vid=042035060061059051097116014036040046060041125055041063

24 novembre 2014

L'accord historique de l'Europe qui s'attaque aux sacs en plastique

Les Européens vont devoir se mettre pour de bon aux cabas et sacs en papier.

 Les Européens vont devoir se mettre pour de bon aux cabas et sacs en papier. Crédits photo : JEAN-PHILIPPE KSIAZEK/AFP

Les 28 pays de l'Union européen ont validé vendredi un texte qui vise à faire baisser drastiquement la consommation de sacs en plastique d'ici 2025.

Les Européens vont devoir se mettre pour de bon aux cabas et sacs en papier. Les représentants des 28 gouvernements européens ont scellé hier un accord «historique», préparé avec le Parlement européen en début de semaine, visant à réduire de plus de trois quarts d'ici 2025 l'usage des sacs plastique à usage unique qui asphyxient eaux et sols. «Cela va permettre à l'Europe de faire face efficacement à un problème environnemental», s'est félicité le ministre italien de l'Environnement, Gian Luca Galleti, dont le pays exerce la présidence tournante de l'UE. L'élue verte danoise Margrete Auken a salué une «percée historique». «Il s'agit du premier accord au niveau de l'UE sur des objectifs contraignants pour réduire les déchets», a-t-elle souligné.

Le Parlement doit valider la mesure

Les Etats ne l'ayant pas encore fait devront imposer que ces sacs soient payants d'ici le 31 décembre 2018 ou prendre les mesures nécessaires pour réduire leur consommation annuelle à 90 sacs par habitant d'ici le 31 décembre 2019. En 2025, la consommation annuelle ne devra pas dépasser 40 sacs par habitant, alors que la moyenne européenne s'établissait à 178 en 2010. Sont visés les sacs à poignée dits «légers» (d'une épaisseur inférieure à 50 microns) encore libéralement distribués dans nombre de supermarchés européens. Plus de 90% des 100 milliards de sacs plastiques mis sur le marché de l'UE entrent dans cette catégorie. Selon la Commission européenne, ils sont plus de 8 milliards par an à finir en déchets sauvages, étouffant poissons et oiseaux et s'agrégeant en ce que les experts qualifient de «soupe mortelle» à la surface des eaux. La nouvelle Commission européenne de Jean-Claude Juncker s'est affichée en retrait sur cette législation, qui doit encore être formellement avalisée par le Parlement européen.

Cet accord intervient un peu plus d'un mois après que les députés français ont voté l'interdiction des sacs plastiques à usage unique à partir de 2016. Depuis qu'ils ont été rendus payants ou ont été remplacés par des cabas, le nombre de sacs plastique distribués en caisse dans les grandes surfaces alimentaires est déjà passé de 10,5 milliards en 2002 à 700 millions en 2011. Cet effort aurait fait économiser à la grande distribution au moins 150 millions d'euros.


Le constat «édifiant» de Tara sur les microplastiques en Méditerranée

La goélette d'exploration Tara est de retour samedi à Lorient après un périple de sept mois en Méditerranée pour traquer les microplastiques qui a abouti à des constats «édifiants» sur l'ampleur de la pollution, non seulement près des villes mais également en pleine mer.

«Les premiers constats de l'expédition sont édifiants», a assuré Gaby Gorsky, directeur scientifique de l'expédition qui a démarré en mai, dans une communication à l'AFP.

«A chaque relevé de filet, il a été prélevé des échantillons de plastique ou de microplastiques, et ce dans toute la Méditerranée», a précisé Stéphane Bruzaud, de l'Université de Bretagne Sud, soulignant des concentrations plus importantes dans les eaux de certains pays, ainsi qu'à proximité des grandes villes, ports et zones touristiques.

Par ,

23 novembre 2014

« Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! »

miroir et illusion

Corps à Coeur est un lieu où les messages du corps sont écoutés et pris en compte. Le corps n’est pas juste un « instrument » ou un « véhicule », je le considère comme un temple ( le temple de l’âme) et aussi comme  » le film de votre vie ».

Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple LA PEUR, L’ANGOISSE  donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites.

  • LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
  • LA COLÈRE retenue ou LA RANCUNE : une crise de foie.
  • LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE  peut provoquer des infections urinaires à répétition.
  • QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.,
  • QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ une angine, des maux de gorge.
  • UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
  • PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
  • INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
  • CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
  • TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
  • SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.
  • PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.

La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ( voir l’illustration ci dessous )

decodage dos                                        

Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps

Bien sûr, il ne faut pas généraliser, l’origine d’une douleur peut être tout simplement  mécanique, un faux mouvement ou un coup de froid….mais si vous ne trouvez pas d’explications contextuelles, alors essayez d’entrer « en contact » avec ce qui se joue au plus profond de vous.

Pour ma part, j’utilise régulièrement l’ouvrage de Jacques Martel :  Le grand dictionnaire des malaises et des maladies  pour mettre des mots sur les maux…cet ouvrage est une sorte de guide pour comprendre  » ce qui se joue » que je pourrais avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir « regarder »…

En voici quelques extraits :

Maladies du foie : le foie représente les choix,  la colère, les changements et l’adaptation.
On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.

  • Difficultés d’ajustement à une situation.
  • Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
  • Colère refoulée.
  • Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

Maladies de la vésicule biliaire :
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.
Se battre. Esprit de conquête.

  • Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.
  • Sentiment d’injustice. Colère, rancune.
  • Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
  • Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
  • Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

LA GLANDE THYROÏDE

  • Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
  • Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
  • Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.
  • Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
  • Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.
  • Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

LES HERNIES

En règle générale  : de la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.

  • Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
  • Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.
  • Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire : 

Hernie inguinale : (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions.
Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie  mais la contrôler.

LES GENOUX

Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

  • Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
  • Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.
  • Devoir s’incliner pour avoir la paix.
  • Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,
  • Entêtement, humiliation.
  • Culpabilité d’avoir raison.
  • Colère d’être trop influençable.

Les maladies LA PEAU, eczéma, acné, psoriasis
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication.
Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

Eczéma :

  • anxiété, peur de l’avenir,
  • difficultés à s’exprimer.
  • Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.
  • Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi.
Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

Acné :  manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

  • Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.
  • Honte des transformations corporelles.
  • Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

Psoriasis : personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

  • Besoin de se sentir parfait pour être aimé.
  • Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.
  • Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.
  • Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

LES BRAS : Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.

Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de FAIRE et de RECEVOIR, ainsi que l’autorité, le pouvoir.
Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

  • Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.
  • Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.
  • Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à  leur montrer de l’affection.
  • Je m’empêche de faire des choses pour moi-même, parce que je me souviens des  jugements négatifs et des interdictions durant mon enfance, ce qui m’avait blessé.
  • Je ne me permets pas de prendre ou je regrette d’avoir pris quelque chose, ou je pense que j’ai obtenu quelque chose que je ne méritais pas.
  • Ou quelque chose me revient de droit , que je n’ai pas pris, je ressens de la colère.
  • Se rapporte au fait d’avoir été jugé par ses parents.
  • Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple…).
  • Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

les douleurs des ÉPAULES

LES ÉPAULES : c’est ce qui PORTE. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.
Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas…
On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.

  • Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.
  • Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.
  • On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.
  • Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.
  • Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.
  • Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.
  • On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).

Épaules rigides et bloquées : blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).
Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).
L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de FAIRE, de réaliser ses désirs.
On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.
On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.
Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe. « Le mal a dit » = votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie.

Reconnaissez et acceptez ces émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti.

Une fois les émotions négatives reconnues, acceptées et évacuées, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de « mal a dit. »

(livres de Lise Bourbeau, Jacques Martel, Claudia Rainville et Philippe Dransart et article de Celine Zen en soi Alvarez diffusé sur FB en 2012.)

Source :

https://corpsetcoeur.wordpress.com/2014/08/25/la-maladie-le-mal-a-dit-la-relation-entre-les-emotions-et-les-maladies/?blogsub=confirming#blog_subscription-3

 

*** UN GRAND MERCI A MON AMIE ***

*** MARTINE ***

*** QUI M'ENVOIE REGULIEREMENT DES ARTICLES ***

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23 novembre 2014

Violences sexuelles : 93% des agressions sont conjugales

Dans le monde, 1 femme sur 3 a été victime de violences conjugales au moins une fois dans sa vie.

Dévoilé le jeudi 20 novembre dans la revue américaine The Lancet, ce chiffre édifiant rappelle trois urgences : mieux détecter les situations à risque, renforcer la prise en charge des femmes et jeunes filles vulnérables et inciter les autorités à renforcer leurs interventions sur le terrain.

Cette dernière décennie, les autorités sociales et sanitaires ont certes pris conscience de l’urgence à aider les femmes victimes de violences. De plus en plus, des textes de loi s’emparent de cette problématique. Le tissu associatif intervenant auprès des victimes ne fait que s’étendre. Mais ces progrès ne permettent pas d’enrayer ce fléau.

« Malgré l’intention générale portée par la société sur cette question, le taux de femmes confrontées à ces agressions ne cesse de prendre de l’ampleur », décrivent par ailleurs les auteurs de la synthèse d’études publiée dans The Lancet. Ainsi, à travers le monde, un tiers des femmes a déjà été victime de sévices, perpétrés par leur partenaire. « Dans 7% des cas répertoriés, l’agression physique et/ou sexuelle provenait d’un parfait étranger ».

Trois millions d’Africaines mutilées

Entre 100 et 140 millions de femmes auraient subi une mutilation génitale. « Parmi ces victimes, 3 millions vivent en Afrique ». Par ailleurs, pas moins de 70 millions de mineures – victimes de manipulation morale – ont été mariées précocement et de force.

Un bilan des plus rudes, et pourtant ces chiffres seraient bien en deçà de la réalité. Dans les pays développés notamment, beaucoup d’agressions passent inaperçues. Victimes souvent envahies par la peur, nombreuses sont les femmes qui n’osent pas dénoncer leur agresseur, et restent dans le silence. Raison pour laquelle il est urgent de « lutter pour l’égalité des genres afin d’aider les femmes exposées à cette discrimination trop souvent invisible ».

Mais certains obstacles perdurent. Les ressources financières manquent pour que les médecins et les acteurs sociaux (assistants sociaux, psychologues…) viennent effectivement en aide à toutes les femmes. Enfin, « la plupart des gouvernements ne se donnent pas suffisamment les moyens d’intervenir », expliquent les experts de l’OMS. « Des textes sont écrits, mais il faut maintenant investir sur le long terme : consacrer un budget suffisant afin de prévenir le risque de violences et mieux accompagner les victimes ».

19 novembre 2014

Gambie: Plusieurs personnes arrêtées pour «homosexualité présumée»

Le drapeau arc-en-ciel, symbole de la communauté homosexuelle.

Le drapeau arc-en-ciel, symbole de la communauté homosexuelle.

 WOJTEK RADWANSKI / AFP 20 Minutes avec AFP

Plusieurs personnes ont été arrêtées ces onze derniers jours en Gambie lors d'une opération visant les homosexuels, a annoncé ce mardi l'ONG de défense des droits humains Amnesty International, accusant les autorités gambiennes de les torturer et réclamant leur libération.

«Depuis le 7 novembre, l'Agence nationale du renseignement (NIA) et la garde présidentielle du pays mènent une opération homophobe ayant conduit à l'arrestation de cinq hommes, dont un garçon de 17 ans, et de trois femmes», affirme dans un communiqué le bureau régional d'Amnesty International pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre, basé à Dakar.

Selon cette ONG, les trois femmes ont ensuite été libérées le 13 novembre, mais elles demeurent sous le coup d'enquêtes. La NIA leur a confisqué leurs pièces d'identité et leur a demandé de ne pas quitter le pays. Les cinq hommes restaient détenus au secret, sans accès à un avocat, au mépris des dispositions légales.

Tortures et mauvais traitements

Sollicitées par l'AFP, les autorités gambiennes se sont refusées à toute déclaration.

Selon Amnesty International, tous les détenus ont été conduits au siège de la NIA à Banjul, la capitale, où il leur a été signifié qu'ils étaient sous le coup d'enquêtes pour «homosexualité» mais aucun d'eux n'a été formellement inculpé.

«Ils subissent des tortures et mauvais traitements pour les forcer à avouer leurs prétendus "crimes" et à donner des informations sur d'autres présumés gay et lesbiennes», indique Amnesty.

Ils sont frappés ou menacés d'être violés avec des objets pour «vérifier» leur orientation sexuelle, d'après l'ONG, qui les considère «comme des prisonniers d'opinion» et estime qu'«ils doivent être libérés immédiatement et sans conditions».

Une loi votée en août pour le durcissement de la répression

Comme dans la plupart des pays d'Afrique, l'homosexualité est interdite en Gambie, où elle est passible de 14 ans de prison, en dépit des appels de la communauté internationale au respect des droits des homosexuels.

En août, l'Assemblée nationale gambienne a voté une loi durcissant la répression contre l'homosexualité. Selon des ONG de défense des droits humains, c'est un texte rédigé en termes vagues qui pourrait permettre de condamner à la prison à vie des personnes séropositives ou vivant ouvertement leur homosexualité.

Jusqu'à mardi, aucune source n'était en mesure de dire si cette loi avait été promulguée ou non par le président Yahya Jammeh, au pouvoir depuis 1994, dont le régime est régulièrement accusé de violations des libertés et droits humains.

Source :

http://www.20minutes.fr/monde/1483491-20141118-gambie-plusieurs-personnes-arretees-homosexualite-presumee

18 novembre 2014

Anomalies cérébrales chez les personnes souffrant du syndrome de fatigue chronique

Doctor examines the patient tomogram

Photo Fotolia

WASHINGTON - Des personnes souffrant du syndrome de fatigue chronique (SFC) présentent des anomalies cérébrales, selon une étude publiée mercredi dans la revue médicale américaine Radiology, réalisée avec différentes techniques de scanners.

Ce syndrome, également appelé encéphalomyélite myalgique, se caractérise notamment par une fatigue persistante et inexpliquée qui perdure pendant des mois, voire des années, malgré le repos.

Considérée comme une maladie neurologique, elle apparaît souvent de façon soudaine, entraînant une détérioration rapide et importante de la santé. Plus d'un million d'adultes et d'enfants en sont affectés aux États-Unis, selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Pour cette nouvelle étude, les chercheurs ont effectué des imageries par résonance magnétique (IRM) sur quinze patients, hommes et femmes, atteints de ce syndrome et sur un groupe témoin de quatorze personnes des deux sexes et du même âge en bonne santé.

Ils ont utilisé trois différentes techniques d'IRM pour obtenir une analyse volumétrique permettant de mesurer la taille des différents compartiments du cerveau, pour observer la substance blanche du cerveau composée de fibres nerveuses transportant des messages entre les neurones et une autre pour mesurer le flot sanguin cérébral.

La comparaison des différents résultats a révélé que les personnes souffrant du syndrome de fatigue chronique ont un volume légèrement plus faible de substance blanche. Ils ont aussi une diffusion anormale de molécules d'eau dans une partie de la substance blanche de l'hémisphère cérébral droit.

Enfin, les chercheurs ont constaté chez les sujets souffrant de ce syndrome des anomalies dans deux parties du cerveau qui relient le lobe frontal et le lobe temporal.

«Plus ces deux parties du cerveau sont anormales, à savoir plus épaisses dans leur apparence, plus les symptômes sont sévères», souligne le Dr Michael Zeineh, professeur adjoint de radiologie à la faculté de médecine de Stanford en Californie.

Ces résultats permettent d'envisager la possibilité d'avoir un biomarqueur du syndrome de fatigue chronique qui pourrait aider à le diagnostiquer, estime-t-il.

Bien que cette recherche ne porte que sur quinze malades, les techniques d'imagerie sont prometteuses comme outil de diagnostic afin d'identifier les personnes souffrant de cette pathologie, jugent les chercheurs, précisant être parvenus à un taux de détection de 80%.

Outre l'outil diagnostic, des IRM pourraient aussi identifier les mécanismes du cerveau où la maladie affecte le système nerveux central, selon les auteurs.

L'hypothèse d'une cause virale est de plus en plus retenue car une infection est souvent identifiée comme facteur de déclenchement couplée à un dysfonctionnement du système immunitaire.

Les symptômes ne se limitent pas à une grande fatigue mais comprennent aussi des douleurs articulaires et musculaires, des migraines, un gonflement des glandes lymphatiques, des problèmes gastro-intestinaux et une tension artérielle anormale.

AFP

Source :

http://www.journaldemontreal.com/2014/10/29/anomalies-cerebrales-chez-les-personnes-souffrant-du-syndrome-de-fatigue-chronique

!!! Un grand merci à mon amie, Martine qui m'a communiqué ce lien !!!

17 novembre 2014

Un meilleur respect des prescriptions médicales permettrait d’économiser 9 milliards d’euros !

Selon une étude d'IMS Health, il suffirait que les patients suivis pour six pathologies chroniques suivent plus régulièrement leur traitement pour parvenir à ce résultat.

Un meilleur respect des prescriptions médicales par les patients dans six pathologies chroniques permettrait de réaliser au moins 9 milliards d’euros d’économies en une année, selon une étude du cabinet spécialisé en santé IMS Health. Les six pathologies comportent toutes un risque à terme de complications graves et représentent environ le quart des dépenses de médicaments en France.

En tête de ces maladies figure l’hypertension artérielle, un facteur de risque important dans de nombreuses maladies cardiovasculaires. Selon l’étude réalisée pendant 12 mois auprès de 6.400 pharmacies (soit un peu plus du quart des pharmacies françaises), 60 patients sur 100 ne suivent pas leur traitement correctement, s’exposant ainsi à un risque accru d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Un patient est considéré comme observant (c’est-à-dire respectant sa prescription médicale) s’il suit son traitement à 80% ou plus dans la durée et en terme de doses. Selon les résultats de l’étude, l’observance des traitements atteint seulement 13% dans le traitement de fond de l’asthme, 36% dans celui de l’insuffisance cardiaque et 37% dans celui du diabète de type 2 – le plus courant. Elle s’élève à 44% dans le traitement de l’excès de cholestérol et à 52% dans celui de l’ostéoporose, une maladie qui conduit à la fragilisation osseuse chez les personnes âgées.

« Estimation prudente »

En se limitant à une seule complication par pathologie, généralement la plus fréquente, IMS Health a évalué le surcoût généré par la non observance à 9,3 milliards d’euros par an pour les six pathologies étudiées. « Il s’agit d’une estimation prudente qui ne tient compte que des coût médicaux directs et n’inclut ni la rééducation, ni les arrêts de travail », selon Stéphane Sclison, le directeur de la stratégie d’IMS Health.

Pour la seule hypertension artérielle, le surcoût engendré par les AVC est évalué à 4,4 milliards d’euros sur un an. Pour arriver à ce chiffre, les auteurs de l’étude se sont basés sur un surrisque d’AVC chez les non observants évalué à 4% par la littérature scientifique.

Interrogé par l’AFP, M. Sclison a précisé que l’observance constatée était basée uniquement sur les prescriptions honorées par les pharmaciens. Elle ne tient pas compte des médicaments achetés mais non consommés par les patients.

Surcoût de 3 milliards d’euros

Quant aux économies qui pourraient être réalisées, elles doivent être comparées au surcoût engendré par une meilleure observance du traitement (de l’ordre de 3 milliards d’euros pour un taux d’observance de 80%).

Dans une étude publiée en 2012, IMS Health avait déjà estimé qu’un meilleur usage du médicament à l’échelle mondiale permettrait des économies de 500 milliards de dollars (400 milliards d’euros), dont 269 milliards de dollars directement liés à la non observance des traitements.

Source :

http://www.gazette-sante-social.fr/14969/un-meilleur-respect-des-prescriptions-medicales-permettrait-deconomiser-9-milliards-deuros?utm_source=newsletter-gss&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter-17-11-2014

17 novembre 2014

Vers une nouvelle loi sur la fin de vie

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