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18 juillet 2018

Pour en finir avec les pailles en plastique

 

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L’intérêt économique pour le recyclage des plastiques est extrêmement limité, nous explique Valérie Borde. Ces matériaux sont certes recyclables, mais ils posent d’énormes défis comparés à l’aluminium, au verre ou même au papier.

Mais c’est un geste absolument négligeable qui ne réglera en rien la problématique de la pollution par les plastiques, et permet plutôt de détourner l’attention des vraies questions que voici.

D’où viennent vraiment les déchets plastiques présents dans les océans ?

Les matières plastiques étant très peu biodégradables, toutes celles qui, à un moment où à un autre, se sont retrouvées dans l’environnement, y sont encore.

Dans les pays riches, la plupart des déchets finissent aujourd’hui leur vie dans des sites d’enfouissement contrôlés et, dans une moindre mesure, dans des incinérateurs. Il y a 50 ans, nos déchets finissaient encore dans des dépotoirs, progressivement remplacés par des sites d’enfouissement sanitaires, puis techniques, où on contrôle les émanations et les fuites.

Dans les pays en développement, on n’en est pas là. Les quantités de déchets produits par habitant sont bien moindres que dans les pays riches, mais le traitement des déchets est très déficient. On y retrouve, aussi, une partie des déchets que les pays riches y délocalisent pour s’en débarrasser, parfois sous couvert de recyclage ou de réutilisation. L’urbanisation et la croissance économique sont les deux moteurs de la croissance du volume de déchets dans les pays en développement.

Dans le dernier grand rapport de la Banque mondiale sur les déchets municipaux, qui date de 2012, on apprend ainsi que les plus gros pays producteurs de déchets par habitant en produisent environ 150 fois plus que les plus petits. Une différence énorme ! À eux seuls, les pays de l’OCDE, qui représentent environ 18% de la population mondiale, génèrent 44% des déchets.

La quantité moyenne de déchets par habitant dans le monde va passer de 1,2 à 1,42 kg par personne et par jour entre 2012 et 2025, selon la Banque Mondiale. Comme la population va s’accroitre, le volume de déchets est amené à augmenter de 1,3 à 2,2 milliards de tonnes dans le même temps.

Dans les pays industrialisés, en 2012, 98% des déchets municipaux étaient collectés, contre seulement 41% dans les pays les plus pauvres !

Dans ces pays, cependant, le coût de la collecte des déchets engloutit généralement entre 80 et 90% du budget des villes, contre environ 10% dans les pays riches.

Les chiffres sur ce qu’il advient des déchets collectés sont difficiles à obtenir dans de nombreux pays, note la Banque mondiale. Dans les pays les plus riches, 0,05 millions de tonnes de déchets seraient encore placées dans des dépotoirs peu contrôlés, à ciel ouvert et sans contrôle des rejets.

Les pays les plus pauvres, eux, rejettent près de 10 fois plus de déchets dans ces dépotoirs à ciel ouvert, soit 0,47 millions de tonnes par an. Mais ce n’est rien à côté des 71 millions de tonnes de déchets qu’y jettent chaque année les pays au niveau économique intermédiaire.

Le plastique qui s’accumule aujourd’hui dans les océans vient donc avant tout de ces pays, qui se développent suivant le même modèle que ceux qui les ont précédés : sortir d’abord de la misère, puis gérer les déchets.

À l’échelle de la planète, la priorité pour limiter la pollution par les plastiques consiste à aider les pays en développement à mieux gérer leurs déchets.

Pourquoi gaspille-t-on autant ?

Les pailles en plastique sont des produits à usage unique, que l’on donne aux consommateurs qui les jettent après quelques minutes d’usage. Elles finissent à la poubelle – au mieux –  encore plus rapidement que les sacs d’épiceries qui trouvent parfois un second usage comme sac poubelle ou sac à crottes quand ils n’ont pas été percés, et qui sont parfois, mais pas souvent, recyclés.

Mais nos commerces, nos poubelles et nos bacs de recyclage débordent d’autres produits contenant des matières plastiques ou pas, qui ne sont pas utilisés beaucoup plus longtemps, et qui ne sont guère plus utiles. Les modes éphémères sont sources d’un ahurissant gaspillage. Vous souvenez-vous des bracelets de silicone aux formes bizarres qui ornaient tous les poignets il y a environ 5 ans ? Où sont-ils aujourd’hui ? Parce que les vêtements sont trop tentants, trop démodables, trop usables et qu’on les répare peu, chaque Québécois en jette, en moyenne, 24 kg par an ! Le recyclage, qu’on présente souvent comme la solution, ne pourra jamais compenser le gaspillage.

Pour tous les produits de consommation, qu’ils contiennent ou non du plastique, l’obsolescence est peut-être programmée par les compagnies, mais nous en sommes souvent les complices. Le Canada est un des pays du monde qui produit le plus de déchets non recyclés par habitant – près de 700 kg par an et par personne, soit plus de deux fois plus que ce que les Japonais produisent.

C’est beaucoup trop ! Le recyclage ne résoudra pas tous les problèmes : savez-vous, par exemple, que le lavage de vêtements constitue une source non négligeable de dissémination de résidus de plastiques dans l’environnement, car les fines fibres qui se détachent à chaque lessive ne sont pas bien éliminées par les stations d’épuration ?

Quelle responsabilité pour les producteurs de plastique ?

Pour éviter la dissémination de déchets dangereux dans l’environnement, comme des métaux lourds, les gouvernements ont institué au fil des ans des politiques de responsabilité élargie des producteurs, pour des produits comme la peinture, les ampoules électriques, les batteries de voiture, les pneus et les produits électroniques.

Ces politiques, souvent trop timides, ne règlent pas tout, mais elles aident à se préoccuper de la fin de vie de ces produits. Pour encourager le recyclage et la récupération, on applique aussi des consignes à certains produits, comme les canettes en métal ou les bouteilles de bière.

Pour le reste, on compte sur la bonne volonté de la population, qu’on incite à porter certains déchets dans des écocentres, à composter les matières organiques et à participer à la collecte sélective des matières recyclables, qui est en partie financée par les entreprises productrices d’emballages et d’imprimés.

Mais est-ce vraiment un bon modèle pour la gestion des plastiques ? Certes, ces matériaux sont recyclables, mais ils posent d’énormes défis comparés à l’aluminium, au verre (qu’on récupèrerait bien mieux s’il n’était pas mêlé avec les autres matières recyclables) ou même au papier.

Les plastiques sont mélangés et pas faciles à trier autrement qu’à la main (alors que l’aluminium, par exemple, peut être récupéré automatiquement par des séparateurs à courant de Foucault). Leur point de fusion est bas comparé à ceux de l’aluminium et du verre, ce qui fait que les impuretés sont mal éliminées par le recyclage.

Globalement, l’intérêt économique pour le recyclage des plastiques est extrêmement limité, car ils sont aussi peu chers à produire.

Peut-on vraiment espérer s’en sortir sans élargir la responsabilité des producteurs, pour faire en sorte que le coût du plastique soit en meilleure adéquation avec son véritable coût environnemental ? Et s’ils veulent nous refiler la facture, qui sait, peut-être que cela nous incitera à consommer un peu moins !

Auteure : Valérie Borde

Source : https://lactualite.com/sante-et-science/2018/07/16/pour-en-finir-avec-les-pailles-en-plastique/

Evy - signature animée Titi

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ATTENTION - J’attire l’attention de mes lecteurs sur le fait que tous les articles, textes et autres encarts qui sont mis en ligne sur mon blog, le sont à la seule fin de vous informer. Le continu de ces articles n’engage que leur auteur. Je ne fais que véhiculer des informations. Merci de votre compréhension.

 

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17 juillet 2018

Bordeaux (Gironde) - Cancale (Ille et Vilaine)

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Moi, Evy votre blogueuse

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Des photos anciennes de Bordeaux et de Cancale

(Gironde et Ille et Vilaine, départements de mes vies).

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Cancale

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Bordeaux

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Bordeaux

 

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Bordeaux

 

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Cancale

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Bordeaux

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Source : http://cartes-postales.delcampe.fr/page/category/cat%2c713%2cvar%2cFrance-Europe-Cartes-Postales%2clanguage%2cF.html

Evy - signature animée Titi

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- ATTENTION -

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14 juillet 2018

http://idata.over-blog.com/1/46/27/34/Divers-3/nev

 

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Le névé est la phase intermédiaire entre la neige et la glace. Quand la neige s'accumule à un endroit, les flocons se tassent et finissent par se souder entre eux en formant des grains de plus en plus gros.

En parallèle, l'eau issue de la fonte durant la journée s'infiltre à l'intérieur des interstices et gèle la nuit, ce qui durcit encore la neige. Le manteau neigeux est alors transformé en névé.

Au final, lorsque la neige durcit encore et qu'il ne reste pratiquement plus d'air entre les cristaux, on aboutit à la glace.

Au-dessus de 2.600 à 2.800 mètres, les névés peuvent persister toute l'année. En été, ils vont avoir tendance à fondre mais peuvent résister pendant plusieurs mois même à basse altitude dans certaines conditions : zones en creux propices à l'accumulation de neige, faible exposition au soleil (faces nord) et au vent.

Leur nombre dépend aussi de la quantité de neige tombée durant l'hiver.

Randonnée en montagne : attention aux névés

Les névés sont une des causes d'accidents les plus fréquentes en montagne l'été. Lorsque les randonneurs souvent peu équipés doivent traverser une zone neigeuse, ils peuvent facilement glisser en contrebas sur des rochers.

Pour considérer le danger, il faut prendre trois critères en compte.

  • L'inclinaison de la pente : à partir de 30°, le risque de glissade est majeur.
  • La dureté du névé : plus il est dur et plus vous aurez tendance à déraper avec des simples chaussures de randonnée.
  • L'observation de l'environnement en dessous  : qu'est-ce qui va stopper une éventuelle chute (barre rocheuse, pente douce en terrain herbeux) ?

Auteure : Céline Deluzarche, journaliste

Source : https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/neige-neve-12485/

Evy - signature animée Titi

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12 juillet 2018

Maxime Le Forestier - Mon frère

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"Mon frère", Maxime Le Forestier

  Source : https://youtu.be/JfB61wEcMEY

 

Evy - signature animée Titi

 

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10 juillet 2018

Quels sont les risques en cas de canicule ?

médicament chaleur canicule

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Les vagues de chaleur et les climats très chauds nécessitent une adaptation de l’organisme. Lorsque les capacités de régulation de la température sont dépassées, la déshydratation et le coup de chaleur peuvent survenir, mettant en danger la vie de la personne. La prise de médicaments en cas de forte chaleur n’est pas sans risque : certains médicaments peuvent augmenter les effets de la chaleur et leur usage peut nécessiter une modification de la posologie par le médecin traitant.

Lors d’une vague de chaleur ou sous un climat tropical extrême, une température ambiante élevée peut favoriser l’apparition de deux complications : la déshydratation et le coup de chaleur.

La déshydratation se manifeste lorsque les pertes en eau du corps sont plus importantes que les apports par les boissons et les aliments. Elle apparaît en quelques jours et se traduit par une sensation de bouche sèche, une diminution du volume des urines qui prennent une couleur foncée, une fatigue et des maux de tête. Si elle n’est pas soignée, elle se traduit par de la fièvre et, parfois, des troubles du comportement ou une perte de conscience. Dans les cas sévères, la déshydratation peut entraîner le décès.

Le coup de chaleur apparaît en moins de six heures. Il se traduit par une sensation de chaleur intense, une rougeur de la peau, des troubles du comportement pouvant aller de l’hébétude à l’agressivité, une démarche titubante, de la fatigue et une soif intenses, des crampes musculaires, des nausées ou des vomissements. S’il n’est pas pris en charge, il peut provoquer un coma mortel en moins de 24 heures.

Le risque de connaître une de ces complications varie selon plusieurs paramètres. Il est augmenté chez les nourrissons et les enfants, les personnes âgées et les personnes qui souffrent de certaines maladies chroniques (troubles cardiaques, insuffisance rénale, maladie entraînant un confinement au lit, etc.).

Source :

https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/prendre-traitement/medicaments-vague-chaleur.html?cid=eml_000081

Evy - signature animée Titi

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8 juillet 2018

LES FRANÇAIS ET LE(S) FÉMINISME(S) : OÙ EN EST-ON EN 2016 ?

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Conférence (2016)

Dans le cadre de son événement, miXitY, le 4 novembre 2016, TEDx ChampsÉlyséesWomen a présenté dans les locaux d’AXA, partenaire de la conférence, une étude réalisée avec OpinionWay sur les Français et le féminisme. Un thème en résonance avec le programme HeForShe lancé par les Nations Unies. Alors, où en est-on en 2016 du féminisme en France ?

Mais, au juste, qu’est-ce que le féminisme ? Car oui, le terme aujourd’hui fait peur et semble ainsi assez galvaudé. C’est pourquoi il semble nécessaire pour débuter de rappeler la définition du féminisme et savoir exactement de quoi l’on parle.

En 1932, l’Académie Française écrivait à propos du féminisme qu’il s’agissait d’une « doctrine qui a pour objet l’extension des droits civils et politiques à la femme ».

En 1986, les femmes ayant alors acquis un certain nombre de droits depuis 50 ans, l’institution revoyait sa définition comme suit : « Mouvement revendicatif ayant pour objet la reconnaissance ou l’extension des droits de la femme dans la société. »

Aujourd’hui, la définition officielle a peu changé. Selon le Larousse, le féminisme représente un « mouvement militant pour l’amélioration et l’extension du rôle et des droits des femmes dans la société. »

Mais est-ce pour autant que le féminisme – ou les féminismes – est perçu comme tel par la population ?

Selon l’étude, la population française est en effet très partagée. 51 % des répondants ne se sentent pas féministes alors que 47 % ont répondu positivement. En revanche, fait notable, seulement 50 % des femmes se sentent féministes.

On observe aussi un vrai clivage en termes d’âge : les plus de 65 ans se sentent majoritairement féministes, contrairement aux 18-24.

Vous sentez-vous féministe ?

QUELLE APPROCHE DE LA MIXITÉ POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES ?

Premier constat, parmi les causes qui tiennent le plus à cœur, l’égalité femmes-hommes n’arrive qu’en 6eme position ex-aequo avec les droits de l’homme (22 % des résultats), loin derrière :

  • la santé (45 %),
  • la paix dans le monde (42 %),
  • l’éducation (36 %),
  • l’environnement – le climat (34 %,
  • et la lutte contre la pauvreté (29 %).

La cause devance néanmoins l’égalité des chances et l’accès à la culture !

Globalement, depuis 20 ans, diriez-vous que les droits des femmes ont…

  • Progressé en France : oui à 52 %
  • Ni progressé, ni régressé : 37 %
  • Ont régressé : 11 %

À noter : ce sont surtout les hommes qui considèrent que les droits des femmes ont progressé alors que les femmes constatent plutôt une stagnation.

LES JEUNES MOINS SENSIBLES À LA QUESTION FÉMINISTE ?

Néanmoins, une autre lecture s’impose. En effet, chez les 18-24 %, l’égalité entre les genres n’est citée qu’à 16 %. Même constat lorsqu’il s’agit de la répartition des tâches ménagères : si seulement 12 % des répondants les attribuent aux femmes exclusivement contre 87 % qui affirment qu’il s’agit de tâches mixtes, un quart des 18-24 ans déclare qu’elles sont dévolues aux femmes uniquement.

Selon vous, chacune des activités suivantes est-elle plutôt le rôle des hommes, plutôt le rôle des femmes ou autant le rôle des hommes que des femmes ?

La jeune génération serait-elle insensible à la question ? C’est plus complexe qu’il n’y paraît. En effet, les clichés ont la vie dure : tâches ménagères, prise en charge de la famille… Les femmes assument aujourd’hui encore 75 à 80 % des tâches liées à la vie de famille et à la maison. Or, on a forcément tendance à reproduire les modèles auxquels s’identifier.

Il n’est donc pas si étonnant ni alarmant d’observer que la jeune génération pense de cette façon. Reste à espérer qu’elle ne reproduise pas forcément le même schéma !

PAS UN MAIS DES FÉMINISMES

Alors, comment expliquer cependant ces différences de position selon l’âge ? Les jeunes ne semblent pas moins ouverts que leurs aînés, au contraire. En témoignent les nombreux étudiant-e-s et jeunes diplômé-e-s que j’ai eus la chance d’interviewer sur ce blog.

J’avais été agréablement surprise par leur maturité justement sur le sujet de la mixité qui leur semble tout à fait naturelle. Les jeunes hommes se montrant même très favorables à la question regrettant parfois de ne pas voir plus de filles prendre la présidence d’associations d’étudiants ou sur les bancs de leur école (dans le cas d’écoles d’ingénieurs par exemple).

Flavien Hello, jeune développeur en informatique, diplômé d’Epitech, regrettait ainsi « de perdre la moitié de l’humanité » face au petit nombre de filles dans son école. Un manque de mixité qu’il interprète aussi comme un frein pour les hommes car « on fait le choix de se couper du monde féminin dans le cadre des études ».

Il ne s’agit donc pas uniquement d’une question d’éducation sur le sujet mais d’un problème de perception. En effet, pour une majorité, il existe différents types de féminisme mais 70 % des Français – et même 74 % des plus jeunes – n’approuvent pas les mouvements féministes actuels.

Toutefois, 56 % des Français estiment que ces mouvements dont évoluer l’égalité hommes – femmes. Dont une majorité d’hommes.

DES JEUNES ENGAGÉS MAIS RÉTICENTS

Cette jeune génération a envie de s’engager mais elle ne trouve pas dans les mouvements actuels les moyens de le faire ! Les mouvements féministes souffrent en réalité d’un véritable problème d’image. Associés à tort à certains mouvements extrémistes fortement médiatisés, les jeunes se sentent alors éloignés du traitement médiatique qui en sont faits et rechignent à s’engager.

Donnons-leur alors les moyens de les amener à se sentir eux aussi des acteurs du changement. Comment ? Grâce à un féminisme plus inclusif et plus ouvert pour que le plus grand nombre puisse s’y reconnaître, les hommes notamment qui semblent particulièrement enclins à s’engager.

 

Auteure : Par Violaine Cherrier

Source : http://www.mondedesgrandesecoles.fr/francais-feminismes-on-2016/

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6 juillet 2018

Forte chaleur : les astuces rafraîchissantes

 

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Il y a l'éventail, bien sûr, ou en plus sophistiqué, le sur-matelas avec un circuit d'eau intégré pour passer de meilleures nuits.

Au-delà de cela, voici une série d'astuces simples et pratiques qui devraient vous aider à mieux supporter les fortes chaleurs.

• Boire régulièrement de l'eau tempérée par petites gorgées.

• En fonction du modèle, disposez à l'avant ou l'arrière du ventilateur une ou deux bouteilles d'eau sortant du congélateur : l'air brassé sera plus frais.

• Aspergez-vous le visage avec un brumisateur d'eau et appliquez des linges humides sur les bras et les jambes.

Autre possibilité : remplissez un sac plastique avec des glaçons, mettez-le dans une serviette et rafraîchissez ainsi le décolleté et le visage.

• N'ouvrez pas les fenêtres en journée, mais aérez pendant la nuit.

• L'huile essentielle de sauge ou de menthe poivrée atténue les coups de chaud, avec un effet rafraîchissant.

 

Auteure : Barbara Simon 
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3 juillet 2018

Simone et Antoine Veil, un couple "fusionnel" au Panthéon

 

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C'est un couple "fusionnel" qui rejoint le Panthéon ce dimanche, de l'aveu de leur fils Jean, à l'AFP. Simone Veil est la cinquième femme inhumée dans ce temple de la République. Antoine Veil, décédé en 2013, est le premier à entrer en tant qu'époux là où reposent 76 personnalités.

Simone et Antoine Veil sont le troisième couple qui reposera au Panthéon, non loin de Jean Moulin et du fondateur de l'Europe, Jean Monnet.

Simone et Antoine Veil sont le troisième couple qui reposera au Panthéon, non loin de Jean Moulin et du fondateur de l'Europe, Jean Monnet. Crédits : Thomas Samson - AFP

 

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28 juin 2018

Luttes contre les décharges sauvages

 

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Des débris de chantier, des gravats ou encore des pneus s’entassent régulièrement en toute impunité dans les villes et les campagnes françaises.

Ces déchetteries illégales à ciel ouvert polluent les sols et empoisonnent la vie de milliers d’habitants. Des associations, des élus et des citoyens se mobilisent contre ce fléau.

« Chaque week-end, c’était la même histoire, nous avions jusqu’à quatre à cinq dépôts sauvages aux abords de la ville. La situation était devenue intenable », se souvient Christophe Dietrich.

Le maire de Laigneville, dans l’Oise a observé avec amertume, ces dernières années, les effets collatéraux du dynamisme immobilier de sa commune, située à 60 km de Paris. Alors que les maisons neuves fleurissent dans les lotissements de la ville, des tonnes de briques, de gravats et de matériaux de maçonnerie sont retrouvées sur les chemins avoisinants, bien loin de la déchetterie pourtant toute proche : « Le dépôt de déchets de construction à la décharge municipale est facturé 75 euros la tonne. C’est donc plus économique pour les professionnels de les laisser dans la nature », analyse le maire de la ville.

Excédé par ces incivilités, il décide alors de remonter la piste des pollueurs en recoupant les témoignages recueillis auprès de riverains.

Il finit par identifier un entrepreneur indélicat et décide de lui renvoyer les monceaux de terre jetés quelques semaines plus tôt sur la voie publique.

L’opération est médiatisée pour marquer les esprits. Une solution radicale qui témoigne de l’exaspération du maire : “L’objectif était vraiment de lutter contre le sentiment d’impunité des professionnels“, explique Christophe Dietrich.

Dans le même temps, l’élu a multiplié les réunions pour organiser la prévention et prévenir des poursuites légales encourues par les pollueurs. Ces efforts conjugués ont fini par porter leurs fruits : « En quatre ans, les dépôts sauvages ont chuté de 90 % à Laigneville  », conclut-il.

Des pièges photographiques en forêt

Pour éviter d’être verbalisés, certains automobilistes n’hésitent pas à s’enfoncer loin sur les chemins forestiers pour déverser leurs déchets encombrants et parfois toxiques. Une situation devenue intolérable pour les agents de préservation de la forêt. Pour lutter contre ce fléau, des appareils photo automatiques, utilisés habituellement par les chasseurs, ont été installés dans plusieurs départements pour capturer, de jour comme de nuit, les faits et gestes des pollueurs.

C’est le cas dans le Massif de Haye, en Meurthe-et-Moselle : « C’est une mesure avant tout dissuasive. Ces pièges photographiques sont fixés aux arbres et se déclenchent au moindre mouvement. Nous les changeons régulièrement de place dans les zones où sont régulièrement déposés de l’amiante, du plâtre et d’autres produits dangereux », explique Philippe Pernodet, responsable de l’Office national des forêts du Grand Nancy. Les agents forestiers sont ensuite chargés de visionner les images pour tenter de relever les plaques d’immatriculation des automobilistes. Les particuliers risquent jusqu’à 1 500 euros d’amende. Les professionnels pris sur le fait sont encore plus lourdement sanctionnés. Ils s’exposent à une amende pouvant aller jusqu’à 75 000 euros et à la confiscation de leur véhicule.

Une carte interactive pour mobiliser les citoyens

En France, on estime à plus de 80 000 tonnes, la quantité de déchets jetés chaque année dans des décharges sauvages en pleine nature. Pour mieux comprendre les causes du phénomène, l’association Picardie Nature a lancé, en 2016, une plateforme collaborative en ligne unique en France : « L’objectif est de recenser, cartographier et caractériser les dépôts sauvages en Picardie », explique Maïté Godefroy, chargée de mission du projet. Cet outil permet aux citoyens picards de faire remonter leurs informations.

Il suffit de zoomer sur l’emplacement du dépôt sur la carte en ligne et de télécharger une photo. À ce jour, 280 décharges sauvages ont été identifiées dans la région grâce à ce site. L’analyse de ces données permettra de suivre l’évolution du phénomène dans le temps et d’étudier la répartition des dépôts sauvages par rapport au réseau existant de déchetteries : « Cela nous aidera à mieux appréhender les contraintes locales liées aux déchets dangereux comme l’amiante, mais aussi à évaluer l’impact de certaines politiques publiques comme la tarification incitative », précise Maïté Godefroy. La plateforme proposera également des solutions pour accompagner les élus confrontés à ces incivilités grandissantes. L’initiative, si elle est concluante, pourrait s’étendre à d’autres régions françaises.

Auteure : Sandra Coutoux

Source : https://www.up-inspirer.fr/42625-ils-luttent-contre-les-decharges-sauvages?utm_source=mailingquotidien&utm_medium=mailing&utm_campaign

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27 juin 2018

L’ancêtre des baleines

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L’ancêtre des baleines ressemblait à un hybride entre le cochon d’Inde et l’antilope.

Ce petit animal à l’aspect disgracieux pourrait bien être le lointain ancêtre terrien des monstres marins que sont les grands cétacés !

Nommé Indohyus, celui-ci présente une apparence étrange, à mi-chemin entre le cochon d’Inde et l’antilope.

LE CHAINON MANQUANT

Les scientifiques savaient déjà que l’ancêtre des baleines était un animal terrien, doté de quatre pattes, qui a un jour opté pour la vie sous-marine.

Plusieurs espèces de cétacés ancestrales ont d’ailleurs été découvertes et permettent de comprendre aux scientifiques la façon dont ces immenses créatures ont évolué.

Mais il leur manquait le chaînon manquant, c’est à dire l’espèce à travers laquelle la transition entre la vie terrestre et sous-marine a eu lieu. 

D’après le professeur Johannes Therwissen, issu de l’université de l’Ohio, ce chainon pourrait bien être… l’indohyus, un petit animal d’une dizaine de kilogrammes, ayant vécu il y a près de 50 millions d’années en Inde.

A mi-chemin entre l’antilope et le rongeur, il vivait au bord de l’eau et était adapté à la fois à la vie terrestre et au milieu aquatique.

En effet, ses os très denses le rendaient particulièrement habile dans l’eau. On retrouve d’ailleurs cette caractéristique chez plusieurs autres espèces de mammifères semi-aquatiques comme le phoque ou l’hippopotame.

UNE ÉVOLUTION MOUVEMENTÉE

Malgré une apparence qui le distingue clairement des baleines, les scientifiques ont découvert plusieurs spécificités chez l’indohyus que l’on ne retrouve que chez les cétacés.

En effet, son oreille interne présente une structure quasiment identique, ses dents également ainsi que le placement de ses yeux.

Il n’y a qu’une seule différence de taille entre les deux espèces : le régime alimentaire. En effet, l’indohyus était herbivore, ce qui n’est pas le cas des cétacés.

Les cétacés seraient ainsi devenus carnivores après avoir définitivement rejoint la mer. Mais il faut manier cette hypothèse avec précaution, car la preuve indubitable d’une filiation entre les deux espèces reste encore à trouver.
L’indohyus a toutefois de bonnes chances d’être le point de transition dans l’évolution mouvementée des cétacés.
 

Evy - signature animée Titi

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