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28 mars 2018

Formation de l'arc-en-ciel : comment se forme-t-il ?

 

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http://img.over-blog.com/500x312/4/18/77/28/photo-perso-2/Arc-en-ciel-2560x1600.jpg

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La formation d'un arc-en-ciel

Comment ce phénomène optique se produit-il ? La lumière provenant du soleil se reflète sur les gouttes d'eau selon un angle d'environ 40°.

Les gouttes d'eau ne réagissent pas tout à fait comme un miroir, sans quoi le reflet du soleil lui-même serait observé, mais plutôt comme un prisme qui réfracte la lumière blanche en un spectre multicolore.

L'observateur est donc toujours situé entre le soleil, qu'il a derrière lui, et le sommet de l'arc-en-ciel qui se montre devant lui.

Malheureusement, c'est impossible car les trois acteurs sont toujours parfaitement alignés et si l'observateur se déplace, l'arc-en-ciel bouge avec lui.

Le trésor légendaire caché au pied de l'arc-en-ciel n'est donc pas près d'être déterré...

Auteur : par la rédaction de Futura

Source : https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/matiere-formation-arc-ciel-forme-t-il-1596/

 

 
Evy
 
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15 décembre 2017

Quelle est la différence entre une mer et un océan ?

La côte est canadienne donne sur la mer du Labrador.

© Pixabay/CC0
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Dimensions, frontières physiques, profondeur... Plusieurs critères distinguent les mers des océans. Une distinction qui reste basée sur des conventions plus que sur des caractéristiques objectives !

Lorsque Vasco Núñez de Balboa franchit en 1513 l'isthme de Panamá et s'aventure sur des flots inconnus, il baptise ceux-ci Mer du Sud. Cinq ans plus tard, Magellan y navigant à son tour par temps calme l'appelle océan Pacifique... Nom qui ne devient officiel qu'à la fin du XIXe siècle. Voilà une façon de poser le problème : les mers et les océans sont d'abord des conventions. Il s'agit d'inventions humaines. D'où la difficulté à les différencier clairement, sinon à les justifier.

En l'état, il existe plusieurs critères. Le premier est le plus intuitif : ce qui distingue une mer d'un océan, c'est d'abord un rapport d'échelle. Par définition, l'océan est plus étendu. La superficie du plus petit d'entre eux, l'Indien, est de 73 millions de kilomètres carrés, tandis que la mer la plus grande, celle d'Arabie, couvre 3,6 millions de kilomètres carrés. Un rapport du simple à vingt.

Les océans sont bordés de continents

Les mers se distinguent par une superficie inférieure, mais encore ? La nature de leurs côtes, la profondeur de leur fond et la salinité de leurs eaux sont aussi prises en compte par les océanographes. Par convention, le terme océan désigne les plus grandes étendues d'eau salée, bordées par les continents. Elles sont au nombre de cinq : Pacifique, Atlantique, Indien, Arctique, Austral.

Les mers, elles, sont de deux grandes catégories. D'une part, les mers bordières, disposées le long du contour des océans, et circonscrites par des péninsules, des îles ou des hauts-fonds. La mer des Caraïbes, par exemple, bordant l'océan Atlantique, est ceinturée par un chapelet d'îles.

Attention cependant, qui dit mer ne dit pas forcément "faible profondeur" ! Celle des mers bordières peut être très élevée, au-dessus des 2 000 mètres, à l'instar de la mer de Norvège (maximum 4 000 m) ou de la mer de Corail (maximum 9 140 m, située entre l'Australie et la Nouvelle Calédonie). Mais ces mers peuvent aussi être situées sur les plates-formes continentales, moins profondes que les plaques océaniques, et donc ne pas dépasser les 200 mètres de profondeur : c'est le cas de la Manche ou de la mer du Nord.

Les mers enclavées ont des caractéristiques propres

La deuxième grande catégorie, les mers annexes, communiquent avec l'océan uniquement par un détroit et sont cernées en quasi-totalité par des terres émergées. A l'instar de la Méditerranée, reliée à l'Atlantique par le détroit de Gibraltar. Du coup, contrairement aux mers bordières, leurs caractéristiques hydrologiques sont très différentes de celles de l'océan. Enclavées, elles sont soumises à une forte évaporation et sont souvent plus salées que l'océan mondial (les cinq océans communiquant entre eux). Alors que la salinité de ce dernier vaut 35 grammes/litre, en Méditerranée elle varie de 38 à 39,5 g/l, monte à 41 g/l en mer Rouge et plafonne à 275 g/l en mer Morte ! Toutefois, dans la Baltique, une mer alimentée par de nombreux fleuves, elle tombe à 5 ou 10 g/l.

Dernière différence : les mers affichent une plus grande diversité biologique que les océans. La Méditerranée, par exemple, abrite entre 4 et 18 % des espèces marines de la planète alors qu'elle représente moins de 1 % de la surface de l'océan mondial !

D'après Science & Vie QR n°20 « La mer & les océans »

Par Fiorenza Gracci et Emmanuel Monnier 

Source : https://www.science-et-vie.com/questions-reponses/quelle-est-la-difference-entre-une-mer-et-un-ocean-10127

 

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24 novembre 2017

Le changement climatique a déjà un impact "clair" sur notre santé

 

Une usine à Weihai, dans la province du Shandong, en Chine, le 12 décembre 2016. 

Une usine à Weihai, dans la province du Shandong, en Chine, le 12 décembre 2016.  (A QIANG / IMAGINECHINA / AFP)

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"Les impacts sur la santé sont bien pires

qu'on ne le pensait auparavant",

s'alarme un rapport publié par la revue médicale "The Lancet".

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Coups de chaleur, pertes de productivité, expansion des maladies transmises par les moustiques... Le changement climatique a déjà un impact concret sur notre santé, avertit un rapport publié mardi 31 octobre, dans la revue médicale britannique The Lancet (en anglais).
Ce rapport invite à"accélérer la transition vers une société bas carbone".

Les "symptômes" provoqués par l'augmentation des températures moyennes et la multiplication des "événements climatiques extrêmes" sont "clairs depuis quelques années, et les impacts sur la santé sont bien pires qu'on ne le pensait auparavant", souligne le document. 

Le rapport estime que le nombre de personnes affectées par les vagues de chaleur a augmenté d'environ 125 millions entre 2000 et 2016, atteignant un record de 175 millions de personnes exposées en 2015.

Les conséquences pour la santé allant "du stress thermique ou coup de chaleur à l'aggravation d'une insuffisance cardiaque pré-existante ou à un risque accru d'insuffisance rénale liée à une déshydratation." 

Sur la même période, la hausse des températures a réduit de 5,3% la productivité des travailleurs dans les zones rurales, estime le rapport.

Le réchauffement du climat a par ailleurs élargi le champ d'action du moustique porteur de la dengue, augmentant son aptitude à transmettre la maladie de 9,4% depuis 1950, tandis que le nombre de malades était presque multiplié par deux tous les dix ans.

Vers une hausse de la "fréquence et de la gravité" des catastrophes climatiques

Baptisé "Compte à rebours sur la santé et le changement climatique", ce rapport entend mesurer tous les ans, jusqu'en 2030, les progrès réalisés pour 40 indicateurs clés concernant ces deux sujets. 

Lancé en 2015, il est élaboré par 24 organismes de recherche et organisations internationales, dont l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation météorologique mondiale (OMM). 

Ses auteurs reconnaissent qu'il est difficile de démêler les impacts liés au changement climatique de ceux causés par la démographie, la pauvreté ou encore la pollution.

Entre 2000 et 2016, le nombre de catastrophes climatiques (ouragans, inondations, sécheresses...) a augmenté de 46%, observent-ils. 

Si l'on ne peut pas encore attribuer de façon certaine ce phénomène au changement climatique, le lien est "plausible", et il y a peu de doute qu'il y aura à l'avenir une hausse de la "fréquence et de la gravité" de ces épisodes, ajoutent-ils.

Après quinze ans d'"inaction relative", les progrès pour s'adapter au changement climatique se sont accélérés ces cinq dernières années, notamment à l'occasion de l'Accord de Paris sur le climat, estiment-ils. 

Mais au vu de la multiplication prévisible des phénomènes climatiques extrêmes, de nombreuses "barrières technologiques, financières et politiques" restent à franchir, en particulier dans les pays à faible et moyen revenu, pour s'adapter et limiter l'impact sur la santé, avertit le rapport.

avatarFranceinfo avec AFP France Télévisions

Source  : http://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/le-changement-climatique-a-deja-un-impact-clair-sur-notre-sante_2445372.html

 

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28 octobre 2017

Les tourbières, des réservoirs à carbone… imperturbables

 

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Qu’elles soient exposées au vent froid de Suède ou au soleil d’Italie, les tourbières – des milieux humides riches en matière organique – ne changent pas leur mode de fonctionnement et, au final, stockent toujours autant de carbone.

C’est en étudiant les communautés végétales de 56 tourbières d’Europe, et leur évolution en fonction du climat, qu’une équipe de chercheurs européens incluant le CNRS et l’Université de Toulouse en sont arrivés à cette conclusion.

Un constat qui laisserait à penser que les tourbières demeureraient de bons réservoirs à carbone, même en cas de réchauffement climatique.

Leurs résultats ont été publiés dans le journal Nature Communications.

 

Vue sur la végétation caractéristique des tourbières : les mousses Sphagnum fallax et S. magellanicum tapissent le sol et servent de support aux graminées et éricacées. La plante carnivore Drosera anglica est visible au premier plan en compagnie d'Andromeda polifolia et Calluna vulgaris. © Vincent Jassey

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Un sol gorgé d’eau, un tapis de mousses, des graminées à perte de vue, des arbustes à fleurs, des myrtilles, quelques plantes carnivores… Voilà à quoi ressemble une tourbière.

Et tandis que les plantes de surface libèrent du carbone au cours de la respiration, la mousse, elle, meurt et s’accumule au cours du temps sur le sol humide pour former la tourbe et conduit ainsi à l’enfouissement d’une très grande quantité de carbone.

« Les tourbières ne recouvrent que 3 % de la surface terrestre mais stockent 500 gigatonnes de carbone dans leur sol, ce qui est autant que les forêts boréales qui occupent 10 % de la surface terrestre, précise Vincent Jassey, écologue au Laboratoire d’écologie fonctionnelle et environnement (Ecolab) du CNRS, et ayant participé à cette étude. 

Ces écosystèmes ont donc un rôle clé dans le piégeage du carbone ». Pour savoir si cette forte capacité à piéger le carbone pourra être maintenu avec le changement du climat, Vincent Jassey et ses collègues ont étudié diverses tourbières d’Europe pour observer la façon dont les communautés végétales se comportent sous différentes latitudes.

« Mon collègue Bjorn Robroek 1 a sillonné l’Europe et a réalisé 560 relevés de végétations dans 56 tourbières aux climats très variés, relate Vincent Jassey. Certaines tourbières dans le nord de la Suède sont exposées à des températures de -20°C, d’autres, en Irlande, affrontent de fortes précipitations, tandis qu’en Italie, les tourbières sont plutôt soumises à des températures très douces ».

En débutant leur étude, les chercheurs ont une hypothèse. Ils supposent que les plantes vascularisées (graminées, éricacées, plantes carnivores, etc.) vont prendre le pas sur le couvert de mousses au fur et à mesure que le climat va se réchauffer, et qu’elles vont, potentiellement, entraîner une stimulation de l’activité microbienne et une diminution de l’accumulation de carbone.

En analysant leurs données, les chercheurs découvrent que les caractéristiques morphologiques, physiologiques et phénologiques2 de la végétation, qui affectent les capacités de stockage des tourbières, restent les mêmes quel que soit le climat.

« C’était une réelle surprise pour nous, confie Vincent Jassey. En réalité, les espèces de mousses et de plantes adaptées aux climats froids et secs laissent progressivement la place, en se déplaçant le long du gradient de température, à des espèces plus adaptées aux climats chauds et humides mais avec des caractéristiques identiques. Globalement, la proportion de mousses et de plantes reste similaire ce qui n’affecte pas les capacités de stockage du carbone des tourbières ».

Ainsi, les résultats de cette étude laissent à penser que les tourbières peuvent être considérées comme de sérieux pièges à carbone et donc comme solutions d’atténuation des effets du changement climatique.

 1 Université de Southampton, Royaume-Uni

2 Relatifs à des évènements périodiques comme la floraison, la feuillaison, la coloration des feuilles, etc.

Référence :

Robroek BJM*, Jassey VEJ*, Payne RJ, Martí M, Bragazza B, Bleeker A, Buttler A, Caporn SJM, Dise NB, Kattge J, Zając K, Svensson BH, van Ruijven J, Verhoeven JTA. Taxonomic and functional turnover are decoupled in European peat bogsNature Communications. 2017, 8:1161. DOI: 10.1038/s41467-017-01350-5.

* co-premiers auteurs

 Contacts :  Vincent JASSEY – Laboratoire d’Ecologie Fonctionnelle et Environnement - ECOLAB (CNRS - UPS - INPT) - vincent.jassey@univ-tlse3.fr

Source http://www.scoop.it/?_tmc=43B6qSCM9wwzcr0c5Mt1_zL1XgHhsEzbqDidRiSpUSk

 

Evy - signature animée Titi

26 octobre 2017

Feux de forêt et déforestation : destruction record des surfaces boisées en 2016

  

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Entre déforestation et incendies de forêt, les surfaces boisées du Globe avaient beaucoup souffert en 2015 et surtout 2016, avec un record historique : une surface égale à celle de la Nouvelle-Zélande était partie en fumée. Mais l'année 2017 est en bonne voie pour pulvériser cette performance.

La perte des surfaces forestières dans le monde a atteint en 2016 un niveau record de 29,7 millions d'hectares, soit la superficie de la Nouvelle-Zélande, selon des estimations publiées lundi par le Global Forest Watch (GFW). Ce bond de 51 % sur un an s'explique surtout par les nombreux incendies ayant sévi dans le monde l'an dernier. Les récents brasiers en Californie et au Portugal devraient hisser 2017 vers un nouveau record de forêts détruites.

La forte augmentation des feux de forêt en 2015 et 2016 s'explique en partie par les effets du courant cyclique chaud du Pacifique El Niño, actif durant cette période — le second plus intense jamais enregistré —, qui a créé des conditions très sèches dans les Tropiques. Il a aussi joué un rôle dans les forêts boréales et tempérées.

Incendie au Portugal vu par le satellite européen Sentinel-2 le 7 octobre 2017. © Copernicus 2017, ESA, Pierre Markuse

La déforestation se poursuit

Selon le GFW — un partenariat de surveillance des forêts lancé par l'organisme de recherche World Resources Institute (WRI) —, le changement climatique accroît aussi l'intensité et le coût des feux de forêt. Outre les incendies, la déforestation liée à l'agriculture, la coupe de bois et l'activité minière ont également contribué à l'importante réduction des forêts en 2016.

Le Brésil, l'Indonésie et le Portugal notamment ont subi des accroissements particulièrement importants de pertes de couverture forestière par le feu en 2016. Ainsi, elle a doublé au Brésil avec la région amazonienne qui a perdu 3,7 millions d'hectares, soit plus du triple de 2015.
Autre responsable des pertes record des surfaces boisées en 2016 : la déforestation. © TravelStrategy, fotolia

4 % des forêts portugaises ont brûlé

Quant au Portugal, il a perdu 4 % de ses surfaces boisées, la plus grande proportion tous pays confondus et près de la moitié des forêts calcinées dans toute l'Union européenne. Selon le rapport, la prévalence d'eucalyptus — qui brûlent facilement — combinée à une mauvaise gestion des sols et au manque de mesures de prévention comme des coupe-feux, explique ce bilan.

La République du Congo a subi l'incendie de forêt le plus étendu jamais signalé en Afrique centrale avec 15.000 hectares détruits début 2016. À Fort McMurray, au Canada, les flammes ont ravagé en mai plus de 600.000 hectares et provoqué 8,8 milliards de dollars de dégâts.

Les incendies de forêt et la déforestation peuvent entraîner une hausse des décès prématurés, des maladies et avoir un impact économique très négatif, prévient le rapport. Lequel souligne qu'ils peuvent aussi affecter les sources d'eau et la biodiversité et qu'ils libèrent d'énormes quantités de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère.

 

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Auteur : Rédaction de Futura

Source : http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/surveillance-forets-feux-foret-deforestation-destruction-record-surfaces-boisees-2016-69005/

 

NB : via le lien ci-dessus, vous pourrez voir une vidéo édifiante !

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28 septembre 2017

Séisme de magnitude 3,9 à Rennes !

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Un séisme de 3,9 sur l'échelle de Richter a eu lieu la nuit dernière au sud de Rennes. © Visactu

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La terre a tremblé cette nuit au sud de Rennes

Un tremblement de terre a été ressenti dans la nuit de mercredi à jeudi vers 3 h 45 au sud de Rennes.

Selon le site du Réseau national de surveillance sismique qui enregistre automatiquement les secousses de la Terre, il s’agit d’un séisme de magnitude 3,9, dont l’épicentre était situé à 15 km de Vern-sur-Seiche et 5 km de Janzé.

Les vibrations ont également été ressenties à Rennes et aux alentours.

«J’étais dans mon lit quand d’un seul coup, j’ai entendu un bruit, comme un grondement et la terre s’est mise à vibrer », raconte cette habitante de Vern-sur-Seiche, commune située à une dizaine de kilomètres au sud de Rennes. « J’ai poussé un cri d’exclamation et j’ai regardé l’heure : il était 3 h 43. Ça n’a duré que quelques instants, mais la sensation était vraiment effrayante ».

Les petits tweets qui rassurent

Cette mère de famille a eu bien du mal à se rendormir ensuite, tout comme cette autre témoin, une habitante du quartier de la Poterie à Rennes qui a, elle aussi, ressenti la secousse dans la nuit. 

« Avec les séismes que l’on voit un peu partout à travers le monde, on se pose des questions quand d’un seul coup, la Terre se met à vibrer. Moi, j’habite au 3e étage alors j’ai préféré me lever et partir plus tôt au travail ».

Et elle n’est pas la seule à témoigner.

Le centre départemental de secours d’Ille-et-Vilaine a reçu une dizaine d'appels dans la nuit.

Sur Twitter, les internautes ont posté une avalanche de petits tweets cette nuit comme pour se rassurer qu’ils n’avaient pas rêvé :

  • "C’était pas un tremblement de terre ça #Rennes ? C’était petit mais c’était chelou." Auteur : MV
  • "Je viens de ressentir un tremblement de terre sur #Rennes #Chantepie y a 2 minutes" Auteur : VP
  • "Pile je me réveille en pleine nuit, pile y a un petit tremblement de terre, j'étais la "je rêve encore ?!" #rennes. Auteur : C.
  • "ptdr merci Twitter je croyais être folle mais non y'a bien eu un tremblement de terre mdr". Auteur : PEP
3,9 sur l'échelle de Richter

Le séisme a été enregistré par le Réseau national de surveillance sismique qui publie automatiquement les secousses sur son site Internet. Les premières informations diffusées (et qui ont été validées tôt ce jeudi matin par un analyste) font état d’un tremblement de terre de magnitude 3,9 sur l’échelle de Richter. L’épicentre était localisé à 15 km de Vern-sur-Seiche et 5 km de Janzé.

Des données confirmées par ailleurs par le site de la Direction des applications militaires du Commissariat à l’énergie atomique (CEA). 

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Source : http://www.rennes.maville.com/actu/

 

Evy - signature animée Titi

 

 

 

 

16 septembre 2017

Savez-vous vraiment ce qu'il y a dans une figue ? (Ça ne va pas plaire aux végétariens)

 

GETTY CREATIVE - ELLY SCHUURMAN
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Savez-vous vraiment ce qu'il y a dans une figue?

Apprendre que les artichauts sont des fleurs et les câpres, des boutons de fleurs marinés, nous a ouvert les yeux. Mais quand on a su ce qu'il y avait dans les figues — et comment elles dépendaient des guêpes —, on a remis en cause tout ce qu'on croyait savoir sur le monde qui nous entoure.

Pour faire simple, les figues ne sont pas des fruits mais des fleurs inversées. Les figuiers ne fleurissent pas comme les pommiers ou les poiriers. Leurs fleurs éclosent à l'intérieur du réceptacle en forme de poire qui donnera le fruit que nous mangeons. Une fleur de figuier ne produit qu'un fruit contenant une seule graine et une coquille rigide, l'akène (c'est ce qui lui donne son côté croquant). Chaque figue est constituée de plusieurs akènes. Quand nous mangeons une figue, nous croquons en fait dans plusieurs fruits.

Mais ce n'est pas la seule particularité de la figue.

Parce que les fleurs du figuier éclosent en interne, elles dépendent d'un processus spécifique pour la pollinisation car elles ne peuvent dépendre du vent ou des abeilles pour répandre leur pollen. C'est là qu'intervient la guêpe du figuier. La figue ne peut survivre sans elle, et réciproquement, car c'est dans la figue que la guêpe dépose ses larves. C'est ce que l'on appelle le mutualisme.

GETTY IMAGES/DEAGOSTINI - Dessin de guêpe du figuier

 La guêpe femelle dépose ses œufs dans la figue mâle (nous ne consommons que celles des figuiers femelles), dont la forme facilite l'accueil des larves de guêpes mais les ailes et les antennes de la guêpe se cassent lorsqu'elle pénètre dans la figue, ce qui l'empêche d'en ressortir. Seul le bébé guêpe sera assez petit pour se libérer. Les mâles naissent sans ailes, parce que leur seule fonction est de se reproduire avec les bébés femelles — qui sont techniquement leurs sœurs — et de creuser un tunnel pour sortir de la figue. Ce sont les femelles qui s'échappent, en emportant le pollen avec elles.

Si une guêpe entre par erreur dans une figue femelle ― celles que nous mangeons ―, elle n'a pas la place de se reproduire, et elle ne peut plus sortir puisque ses ailes et ses antennes se sont détachées. La guêpe meurt donc à l'intérieur, ce qui est hélas nécessaire parce qu'elle apporte ainsi le pollen qui donnera le fruit que nous aimons.

Attention: le croquant que vous sentez sous votre dent n'est pas dû à la carcasse de la guêpe! La figue se sert d'une enzyme, la ficine, pour la transformer en protéines. Mais, techniquement, quand vous mangez une figue, vous avalez aussi une guêpe du figuier (du moins ce qu'il en reste). Certains végans décident d'ailleurs de ne plus en consommer pour cette raison.

Regardez la vidéo de Brain Stuff ci-dessous (en anglais) pour visualiser le processus de la pollinisation. 

 https://youtu.be/9DQTjv_u3Vc

 

Cet article, publié à l'origine sur le Huffington Post américain, a été traduit pour le HuffPost Québec par Bamiyan Shiff pour Fast for Word.

 

Auteure : Julie R. Thomson

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2017/09/13/savez-vous-vraiment-ce-quil-y-a-dans-une-figue_a_23205966/

Evy - signature animée Titi

 

 

 

 

23 août 2017

Mer, océan, lac, étang, mare : quelles différences ?

 

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Il n'est pas toujours aisé de différencier mer, océan, lac et étang, mare.

Même les scientifiques montrent parfois des désaccords quant à ces classifications. Quelques caractéristiques simples de chacune de ces étendues d'eau permettent d'y voir un peu plus clair.

« Vaste étendue d'eau salée qui couvre une grande partie de la surface du Globe ».

Les dictionnaires ne font pas toujours la différence entre une mer et un océan. Pourtant, comme il existe des différences entre un fleuve et une rivièremer et océan présentent des caractéristiques bien définies.

Les océans et les mers sont de vastes étendues d’eaux salées. © BrunoBordderr, Pixabay, CC0 Public Domain

Quelles différences entre un océan, une mer et un lac ?

Les mers et les océans sont tous les deux de vastes étendues d'eaux salées. Ils peuvent aussi bien être froids que chauds. Et tous les deux peuvent également subir le phénomène de marée. Même s'il est plus marqué du côté des océans.

Pourquoi la mer Morte est-elle si salée ?

Mais trois critères essentiels permettent de distinguer une mer d'un océan :
  • Un océan est plus vaste qu'une mer. Le plus grand des océans (1) de la planète s'étend sur une superficie de près de 180 millions de km2. Le plus petit océan couvre quelque 14 millions de km2. La plus grande mer, la mer d'Arabie, quant à elle, ne mesure qu'environ 3.600.000 km2.
  • Un océan est également nettement plus profond qu'une mer.
  • Un océan entoure un continent et repose sur un plancher basaltique. Une mer, quant à elle, repose sur de la croûte continentale.

Les lacs, quant à eux, se différencient des océans et des mers essentiellement par le fait qu'ils sont remplis d'eau douce.

Ils sont isolés de la mer, alimentés par un cours d'eau et comportent également un cours d'eau émissaire.

Pour mériter la désignation de lac, il faut qu'une étendue d'eau soit suffisamment grande et profonde — supérieure à 20 mètres — pour permettre le dépôt de sédiments sur son fond et/ou la stratification thermique des eaux.

Quelles différences entre un lac, un étang et une mare ?

Contrairement au lac, l'étang est une étendue d'eau, douce ou salée, et surtout peu profonde (entre 5 et 10 mètres). Un étang se forme par accumulation d'une eau non absorbée par un sol trop imperméable. Son alimentation se fait par des sources de faible débit (eaux de pluies, ruissellements, ruisseaux, nappes phréatiques, etc.). L'eau d'un étang est donc stagnante. Et son écosystème est, de fait, bien différent de celui d'un lac.

Une mare enfin, est de petite taille. Et sa profondeur est inférieure à 2 mètres. Elle peut être naturelle (mare forestière, mare de prairie, etc.) ou anthropique (mare de régulation de collecte d'eau, mare de réserve d'eau pour l'usage domestique, etc.) et elle n'est pas nécessairement pérenne.

Plongez dans le fascinant lac vert d'Autriche  En Autriche, à la fin du printemps, un site de randonnée se transforme en site de plongée grâce à la fonte des neiges ! Sentiers, bancs, passerelles, arbres : tous sont submergés sous au moins 10 m d'eau. Le paysage sous-marin rappelle alors un lieu enchanté que nous vous invitons à découvrir en vidéo.

Nathalie Mayer, Journaliste

(1) Le plus grand des océans est l'océan Pacifique, avec une surface de plus de 166 millions de km². 

C'est donc le plus vaste des 5 océans du globe terrestre, devant l'Atlantique (160 millions de km²), l'Océan Indien (73 millions de km²), l'océan Antarctique (20 millions de km²) et l'océan Arctique (14 millions de km²).

C'est aussi dans le Pacifique que l'on trouve les fosses les plus profondes de la planète : plus de 10.000 mètres de profondeur.

L'océan Pacifique a été découvert en 1513 par l'Espagnol Vasco Nuñez de Balboa. Mais c'est l'explorateur portugais Magellan qui fut le premier à y naviguer. Il lui donna d'ailleurs le nom de "Pacifique" en raison du temps calme qu'il trouva pendant sa traversée.

 

Sourcehttp://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/ocean-mer-ocean-lac-etang-differences-7651/

 

 

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19 août 2017

Dune du Pilat : Difficile d'accès, victime de son succès

 

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Malgré le rond point mis en place cette année, la dune du Pilat est toujours relativement difficile d'accès.

Bouchon, parking complet, la dune reste l'un des endroits les plus touristiques de la région. 

Pendant les vacances d'été, de nombreux touristes veulent visiter la dune du Pilat. 

Au mois d'août, c'est 500 000 visiteurs qui affluent pour voir cette grande destination du littoral aquitain. 

La semaine du 15 août est généralement la plus chargée de l'année.

C'est donc parfois une vraie marée humaine qui commence quelques kilomètres plus loin dans les bouchons.
En voiture, il faut faire preuve d'une grande patience après parfois plusieurs heures de route. 

"Là ça fait 15 kilomètres pour 30 minutes.

Et maintenant, il faut trouver une place pour se garer"


Mais le parking de 950 places est régulièrement saturé !
Nouveauté notable pour désengorger la route ? Un rond point a été réaménagé au mois de juin à la demande du syndicat mixte de la grande dune du Pilat. 
Il est à présent à doubles voies pour libérer la circulation vers les plages voisines. 
Malgré le monde, le trafic semble donc un peu plus fluide que les années précédentes. 
Par Anne-Flore Roulette
Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/arcachon/dune-du-pilat-difficile-acces-victime-son-succes-1312947.html

 

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17 août 2017

Pourquoi la mer Morte est-elle si salée ?

 

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Si la mer Morte est morte, c'est qu'elle renferme un excès de sel fatal à toute forme de vie macroscopique, qu'elle soit animale ou végétale.

Mais quelle est l'origine d'une telle quantité de sel ?

La mer Morte ne contient pas moins de 27,5 % de sel. Un chiffre presque incroyable lorsqu'on le compare au taux de salinité moyen des autres mers et océans de notre planète qui oscille entre 2 et 4 %.

De manière générale, le sel dissout dans les mers et les océans qui recouvrent largement la surface du Globe est issu de l'érosion de la croûte terrestre.

Ce sont les rivières et les fleuves qui les alimentent en sels divers et variés. Concernant la mer Morte — qui n'est en réalité qu'un lac —, on estime que le Jourdain lui apporte quelque 850.000 tonnes de sel par an.

Mais aujourd'hui, on évalue à 90 % au moins, le volume d'eau qui approvisionnait traditionnellement la mer Morte et qui est détourné à des fins d'irrigation. Ajoutez à cela juste ce qu'il faut d'évaporation naturelle et vous ferez baisser le niveau de la mer Morte d'environ un mètre par an.

Vous comprendrez d'où lui vient cette salinité hors du commun !

Le sel présent en grande quantité dans l’eau de la mer Morte permet de flotter plus facilement. © Rottan, Pixabay, CC0 Public Domain

On flotte mieux dans l’eau salée de la mer Morte

Ajouter du sel à de l'eau influe sur sa densité. L'opération a tendance à la faire augmenter. Ainsi, selon le principe énoncé par le célèbre Archimède, un corps humain plongé dans l'eau subit une poussée verticale, dirigée du bas vers le haut, et égale au poids du volume d'eau déplacé par le corps.

Comme l'eau de mer — et d'autant plus celle de la mer Morte dont la masse volumique atteint les 1.240 kg.m-3 — est plus lourde que l'eau douce, nous flottons mieux dans la mer Morte que dans le bassin olympique de la piscine municipale.

Ainsi, une baignade dans la mer Morte se fait-elle un peu... assis sur l'eau. Et on peut y profiter des bienfaits pour la peau que procure la densité importante de sels minéraux qu'elle contient.
Mais autant de sel peut aussi être dangereux pour la santé.
Alors, attention à prendre quelques précautions : ne pas mettre la tête sous l'eau afin d'éviter les brûlures aux yeux, par exemple, et ne pas boire cette eau beaucoup trop salée ni même s'y baigner trop longtemps — une dizaine de minutes suffisent — afin de ne pas provoquer de déséquilibre de la concentration en sels minéraux dans votre corps.
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