Commentaire sur mon blog...
Bonjour à toutes et à tous,
Je remercie chaleureusement mes lectrices et mes lecteurs
même s'il est vrai qu'en ce moment, je suis beaucoup moins assidue.
Ce matin,
je voulais juste vous expliquer la manière de
"laisser un commentaire"
sur les articles de mon blog.
Ci-dessous, l'image que vous avez pratiquement toujours :
Vous constaterez que dans le pied, il se trouve le mot
Commentaire (0).
C'est en cliquant dessus que vous pourrait laisser votre commentaire.
Certes, ce n'est pas évident,
mais je n'ai pas trouvé d'autres moyens...
Je ne suis qu'une "blogueuse d'occasion"
et il y a beaucoup de "combines" que je ne maîtrise par encore !
Je vous remercie de votre compréhension et de votre indulgence.
Je vous souhaite à toutes et à tous,
un très beau week-end ensoleillé
en tous cas chez nous, c'est le cas,
quoiqu'il fasse frisquet (0°) !
Evy
oOo
Orelsan
Salut les Blogueuses et les Blogueurs,
Je pousse un coup de gueule contre ce chanteur
(enfin, s'il mérite d'être appelé ainsi).
J'ai inséré plus bas dans le texte, le lien de la vidéo
dans le cas où vous ne connaîtriez pas cet individu.
Et pour vous faire une idée
de ce qu'il est capable "d'écrire et de rapper" sur
La Femme !
Mais si vous êtes écoeuré comme je le suis,
je vous invite à ne pas visionner cette m.... !
Alors c'est vrai qu'en France, et heureusement,
nous sommes libres de nous exprimer et d'émettre notre opinion
sans être inquiété (ou presque !!!)
En furetant sur la toile, j'ai vu une pétition sur Facebook,
qui demande la restitution des "victoires"
que le "chanteur-rappeur" a acquises
lors des dernières Victoires de la musique.
Sans aller jusque là,
(car peut-être que cet homme les mérite
pour les diverses "créations" qu'il a faites ces derniers temps),
mais par principe
et parce que l'on se doit respect les uns, les autres,
JE DIS :
S'il vous plait,
un peu de respect Monsieur Orelsan.
Les femmes sont assez moquées partout et tout le temps,
pour que vous vous absteniez dans un art populaire,
La chanson française,
de jeter de telles injures et de telles ordures
à la face de la gente féminime.
"Allez répandre votre fiel ailleurs" (pour rester polie).
Si vous avez envie de vomir ou de pleurer,
c'est le moment de regarder cette vidéo
en cliquant sur le lien ci-dessous ...
PS : Ci-dessous, lien pour lire les paroles de cette ... (je ne sais même pas comment nommée ce texte infâmant)
https://www.paroles.net/casseurs-flowters/paroles-01h16-les-putes-et-moi
oOo
Auteure : Evelyne Bretey
Mot de la Blogueuse !
Evy, la blogueuse
Je vous prie de bien vouloir m'excuser
pour ma longue absence
due à des problèmes de santé
et d'informatique.
Pour l'heure, je suis à Bordeaux
pour les fêtes de Noël,
et chez ma belle fille Gé,
pour le réveillon du nouvel an.
Je reprends mes activités "bloguestes"
En ...
!!! 2018 !!!
Très heureuses fêtes de fin d'année à tous
Retour de cure de la Blogueuse
http://img1.sendscraps.com/se/031/001.gif
Coucou !
De retour de ma cure à Dax,
où j'ai réussi à publier dans mon blog,
je vous souhaite le bonjour,
et retrouve mes activités d'avant.
J'espère que vous allez tous bien,
Bien amicalement,
Evy, la blogueuse
Absence de la blogueuse
Et oui, j'ai abandonné mon blog une bonne quinzaine de jours.
Mais j'ai des circonstances atténuantes puisque j'étais dans mon cher Sud-Ouest.
En effet, la première semaine, j'ai rendu service à des amies en gardant leur établissement hôtelier
pendant leur vacances bien méritées.
La deuxième semaine, j'ai rendu visite à mes amies bordelaises,
Et ce fût un peu compliqué à gérer !!!
Donc, me voilà de retour.
Et je me remets au travail,
Enfin !
Mille excuses pour ceux et celles qui visitent régulièrement mon blog,
Ce dont je les remercie infiniment.
Belle journée à tous
CONVERSATION AVEC MA FIBROMYALGIE
Tu ne t'es pas présentée, tu es arrivée un jour comme les autres ; un matin, je me suis réveillée plus fatiguée que de coutume.
Je n'avais pas bien dormi cette nuit là et ma lassitude était immense. Que pouvais-je y faire... La journée débutait avec sa ribambelle de tâches quotidiennes et ce n'est pas un mauvais sommeil qui allait arrêter le temps.
Je commençais ma journée comme à l'habitude et accomplissais les gestes habituels du réveil, de la préparation des petits déjeuners, passait en vitesse sous une douche sensée réveiller mon corps, maquillageet choix, toujours compliqué, d'une tenue convenable pour aller bosser.
A l'époque, ma vie n'était pas simple du tout ; divorcée depuis peu, l'organisation de mes journées était compliquée. Mais je fonçais, ne réfléchissais pas trop et malmenais mon corps jusqu'à l'épuisement.
Je partais le matin au boulot en pensant à la fin de la journée pour m'affaler dans mon canapé dans lequel je larvais devant une débilité télévisuelle, tout en écoutant le flot ininterrompu du bavardage de ma chère fille qui n'en finissait pas de me raconter sa journée. Je l'écoutais bien sûr car c'était ma joie de vivre et mon rayon de soleil. J'étais fière de pouvoir élever mon enfant toute seule. Il fallait que je prouve au monde entier que j'en étais capable car je l'avais désirée du plus profond de mon être. Je voulais en faire quelqu'un de bien, avec mes valeurs, ma conception de la vie, mon attachement au respect de l'autre, ma tolérance à la différence et peut-être même, ma capacité à pardonner à ceux qui m'ont blessée.
Mon corps était tendu comme un arc, prêt à bondir, à faire ses preuves. J'aurais franchi des montagnes pour donner tout à mon enfant ; mais surtout, lui donner une bonne éducation et tout l'amour que mon coeur contenait.
Un élément qui m'avait échappé et qui m'a frappé en pleine gueule fût de constater que mon esprit s'engourdissait ; mon cerveau était cotonneux et n'était plus à l'écoute du monde extérieur.
Mais qu'as-tu fait de moi Madame Fibromyalgie : un ectoplasme sur deux pattes qui n'arrivait plus à avancer ; ni physiquement, ni intellectuellement. J'étais au point mort.
Je me suis battue comme un diable contre cet état de lassitude grandissant. Oui, je me suis bougée le cul, oui j'ai dépassé ces limites que tu m'imposais, oui je t'ai dis merde, oui, je t'ai hais, oui je me suis débattue contre les barreaux que tu montais tout autour de moi pour m'empêcher d'exister et de mener ma barque tranquillement aux côtés de ma fille.
Alors, quoi, tu voulais la guerre : tu l'as eue !
Mais cela n'a pas dû te convenir car une guerre est faite de multiples batailles et j'en ai perdues trop, avec toi pour ennemie.
Quelques fois, j'y ai cru ; je me suis dis : ça y est, elle s'est barrée la garce !
Mai non ; tu revenais à la charge, me jetant à terre comme un sac de pommes de terre.
Oui, tu m'as épuisée et pourtant, j'ai cherché aux tréfonds de mon corps et de mes capacités mentales, les moyens de lutter contre ton envahissement.
Mais comment, tu as pu me faire ça !!!
Je prenais un nouveau chemin de ma vie ; j'avais des tonnes de projets, j'avais trouvé ma voie, j'avais un travail.
C'est vrai qu'avec ma fille chérie nous nous sommes accrochées et ça n'a pas été tous les jours faciles, tu peux me croire. Mais nous étions heureuses malgré les problèmes de tous ordres que je rencontrais.
Nous avions bien organisé nos vies et nous étions complémentaires, ma petite Delphine et moi.
Mais voilà que tu t'ai invitée, sans bruit, un beau matin, sans même me prévenir : je n'ai pas pu me lever ce matin là.
Tu avais pris possession de mon corps et de mon mental ; tous les voyants étaient au rouge et aucune commande ne répondait.
Que pouvais-je faire alors, dis-moi ?
J'ai tout perdu à cause de toi : mon travail car j'avais des arrêts de travail à répétition et cela n'a pas dû plaire à mon employeur car j'ai fait l'objet d'un harcèlement moral et mental en bonne et due forme. J'ai craqué lamentablement et je suis tombée, tombée, tombée... jusqu'au fond du trou.
Voilà, tu devais jubiler chère Madame Fibromyalgie ; tu avais eu ma peau.
Cela a failli être le cas, soit dit en passant, car la vie n'avait plus aucun sens et je ne pouvais plus apporter à mon enfant chéri, ce que je m'étais promis de lui offrir : le bonheur, tout simplement.
Et ça, je ne te le pardonnerai JAMAIS ! tu m'as volé ma vie et celle de ma fille qui ne demandait qu'à vivre paisiblement avec sa maman une vie faite de petits bonheurs et de grandes joies.
Je ne dis pas que je n'en ai pas eu mais ce n'est pas grâce à toi car tu as tout fait pour bousiller notre petit bonheur tranquille.
En m'imposant des douleurs absolument insupportables, de jour comme de nuit, tu m'as volé mon repos, mon sommeil, mes rêves...
Ma vie n'était que champ de ruines ; et pourtant, je me battais tous les jours, essayant de repousser tes assauts.
Mais je n'étais pas de taille, il faut croire.
Tu as imposé à mon enfant de mûrir plus vite pour palier la mère défaillante que j'étais devenue. Tu as fait d'elle une adulte avant l'âge. Elle a dû prendre des responsabilités d'adultes.
Et moi, dans tout ce cirque, tu y as pensé un seul instant.
Qu'est-ce que je peux dire à ma fille maintenant : j'ai bousillé ton enfance, je te demande pardon. J'ai l'air de quoi face à elle : une mounaque qui, au moindre effort, est épuisée et se tord de douleur jusqu'à en pleurer.
Non, bien sûr, tu t'en fous...
Tu sévis dans le corps de milliers de gens et aucun thérapeute ne trouve de parade à ton acharnement à faire souffrir.
Je ne trouve pas de mots assez forts pour qualifier ce que je ressens : ça ressemble étrangement à de la haine (mais je n'aime pas du tout de mot).
Tu m'as tout pris, tu as pourri ma vie, notre vie ; même à l'heure où j'écris cette lettre, tu continues à vriller mes muscles, les torturant, les pétrissant jusqu'à ce que je lâche prise.
Ouais, tu as raison ; je vais m'allonger sur le canapé pour que mon Amour dorme en paix, sans l'espèce d'invalide qui tourne sur son lit dans tous les sens pour trouver le sommeil... qui ne vient pas, bien sûr !
Merci Madame Fibromyalgie ; même si tu m'accompagnes jusqu'à mon dernier souffle, ce ne sera pas toi qui aura ma peau !
Je ne te souhaite pas la bonne nuit, puisque tu sévis même pendant ces heures de repos et d'apaisement que devrait connaître tout être humain.
Prends un peu de repos ma Grande, ça nous fera des vacances !!!
Signé : Evelyne, Evy, Maman, Mamie, etc...
(。◕‿◕。)
Je suis de retour...
Coucou, Evy, le retour ...
Je sais que je vous ai abandonnés pendant plusieurs semaines...
Mais vous savez ce qu'on dit :
"Dans la vie, on ne fait pas toujours ce que l'on veut !"
Cela a été mon cas.
J'ai eu quelques problèmes de santé qui m'ont obligée à être hospitalisée.
Je vous rassure, rien de grave...
Mais il est évident que j'ai pas pu tenir mon blog pendant cette période (3 semaines).
Après ce séjour, je suis descendue à Bordeaux,
Voir ma petite famille
Et par la même, fêter mon anniversaire !
66 ans
Quelle vieille je fais !!!
Dès demain, je me remets au travail
Et vous ferai partager mes ressentis sur tout et n'importe quoi (ça m'arrive des fois...)
La blogueuse,
Evynou, la Bouscataise
Les mots
Nous avons l'immense privilège et la chance de nous exprimer dans cette belle langue qu'est le français.
Cette langue très riche nous offre une multitude de vocables pour traduire nos peines,
nos joies, nos sentiments, notre sensibilité, etc.
J'ai une véritable passion pour elle et je fais en sorte de l'enrichir au travers de mes lectures.
C'est une véritable joie quand je découvre un nouveau mot, que je recherche son sens original,
et que je peux me l'approprier.
Mais je suis très attentive à ne pas faire de maladresse dans l'utilisation des mots car souvent,
ils contiennent un sens très fort, voire violent.
De plus, ils peuvent avoir une dimension inattendue, de l'ordre du religieux par exemple.
Et c'est pour cette raison, que je mets un soin tout particulier à les choisir.
Quand je rencontre des mots comme :
MAUDIT ou MECREANT
je m'interroge...
Et je me dis que l'usage de ces deux mots n'est pas anodin !
En effet, quand on recherche leur sens, on trouve :
MAUDIT : qui encourt la réprobation, méprisable, détestable, exécrable.
Très mauvais, dont on se plaint avec amertume ou colère. Réprouvé, condamné.
Source : http://www.cnrtl.fr/definition/maudit
Oups, je ne savais pas que j'étais aussi abjecte !!!
MECREANT : qui a une religion autre que la religion chrétienne (considérée comme seule vraie).
Etymologie : mal croire.
Source : http://www.cnrtl.fr/definition/mecreant
Désolée, mais je ne suis pas mécréante,
mais non-croyante ou athée (celui qui nie l'existence d'un dieu).
Je constate avec tristesse que notre langue française est bien galvaudée
et je conseille à toutes et à tous, de faire très attention, avant d'employer des mots dont ils ne connaissent apparemment pas,
la signification, de se relire
ou d'aller sur un site sérieux
qui pourra les aider à comprendre le sens
de leurs propos.
A bon entendeur, salut !
2015
A tous celles et ceux qui comptent pour moi,
Ils sont quand même quelques uns,
Et, ils se reconnaîtront,
J'adresse un message d'amour,
Et je les embrasse bien fort !
Evy