Johanna van Gogh‑Bonger ou le marketing au service de la culture
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Récolte posthume
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« Bien des choses ne font que commencer à trente ans, et il est certain que tout n’est pas fini à ce moment‑là. Mais on n’espère plus que la vie vous donnera ceci ou cela, puisque l’expérience vous a appris qu’elle ne peut vous le donner. On commence à saisir alors que la vie n’est qu’une espèce de période de fumage, et que la récolte n’est pas de ce monde. » C’est en ces termes visionnaires que s’exprimait Vincent Van Gogh dans l’une de ses lettres à son frère Theo, son complice de toujours, quelques années avant de se donner la mort à 37 ans dans un champ de blé d’Auvers‑sur‑Oise. Créateur prolifique de 900 toiles et de plus de mille dessins, il ne vendit que deux peintures de son vivant, ce qui en fait l’archétype de l’artiste maudit. Comment expliquer, dès lors, le contraste avec son immense notoriété à titre posthume ? Pour Élodie Cao‑Carmichael de Baiglie‑Chabroux (doctorante en sciences de gestion à l’Université de Bordeaux), la réponse se trouve du côté de Johanna van Gogh‑Bonger (la femme de Theo, disparu peut après son aîné), qui avait compris le projet artistique des deux frères et sut valoriser le travail de Vincent avec un indéniable sens des affaires et du marketing. En somme, c’est grâce à elle que nous pouvons admirer les « Tournesols » au musée Van Gogh d’Amsterdam… et décorer notre frigo d’un magnet « La nuit étoilée ». Auteure : Sonia Zannad, Chef de rubrique culture, social media manager Source : https://theconversation.com/johanna-van-gogh-bonger-ou-le-marketing-au-service-de-la-culture ./... Pour lire la suite, cliquez sur le lien ci-dessus.
ATTENTION J’attire l’attention de mes lecteurs sur le fait que tous les articles, textes et autres encarts qui sont mis en ligne sur mon blog, le sont à la seule fin de vous informer. Le continu de ces articles n’engage que leur auteur. Je ne fais que véhiculer des informations. Merci de votre compréhension
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